Vos Commentaires
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- Écrit par Christine
En effet, "vintage"...mais rafraîchissant ! J'aime bien. Merci JM. - Détails
- Écrit par Christine
Voilà un groupe que je ne connaissais pas, mais j'aime assez les chansons que je viens d'écouter. J'ai attribué 5 étoiles et l'album fera partie de mes prochains achats. Je vais aussi jeter un œil sur la chronique de l'album précédent...
Merci Fab pour la découverte!
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- Écrit par Eric Berger
Il faut se mettre à la page « coco » on ne peut pas chroniquer tout le temps du chanteur ou de la chanteuse pour maison de retraite…
Cette phrase est un passage du dernier message que m’a laissé l’ami Fab. Il veut faire sûrement référence à mes dernières chroniques de ROD STEWART et BONNIE TYLER et à la blague que je lui avais balancée sur ROBERT VENUS… euh non, c’est BRUNO MARS dont Fab doit faire la chronique. Et PAPA ROACH dans tout cela ? C’est quand même un groupe de djeuns et c’est quand même mieux que BERNARD SATURNE ! Bon de toute façon, Fab n’aime pas le Métal et c’est tant pis pour lui car il passe à côté de plusieurs dizaines de fantastiques groupes qu’ils soient jeunes ou moins jeunes.
Jusqu’à ces derniers jours, je n’avais pas jeté un poil d’oreille sur cet album The Connection sorti fin 2012 et j’avais même zappé la chronique de Metalden (sorry boss). Il a fallu que Metalden me dise, on doit faire une interview de PAPA ROACH au Hellfest, veux-tu t’occuper des questions et as-tu leur dernier cd ? J’ai répondu oui à la première question et non à la seconde. Du coup grâce à cet outil formidable qu’est la technologie, il m’a envoyé les fichiers de l’album. Après plusieurs écoutes, j’ai commandé cette « Tour Edition » qui contient un dvd bonus d’un concert intégral du groupe. Sans marcher sur les plates-bandes du boss, je vais aller à l’essentiel. Passer l’intro très courte, Still Swingin déboule avec son tempo appuyé et son refrain hyper mélodique, ici pas de round d’observation. Le chant de JACOBY SHADDIX est au fil des années devenu plus harmonieux tout en gardant cette agressivité qui lui est propre. La guitare acérée de JERRY HORTON enfonce le clou sur Where Did The Angels Go et Silence Is The Enemy bien aidé par une rythmique de plomb et autres programmations et claviers. Le titre suivant est mon préféré. Before I Die commence calmement, le grain de voix de Jacoby est ici bourré d’émotion, une émotion qui explose carrément sur le refrain. L’album continue et déroule une recette maintes fois copiée mais jamais égalée. Car le groupe sait composer des chansons qui vous font lever le poing et chanter en même temps que ce soit sur Breathe You In ou Leader Of The Broken Hearts et son tempo chaloupé. As Far As I Remember qui clôt le disque est une ballade à la PAPA ROACH, à la mélodie imparable et à la puissance sous-jacente. La production est ici démente, carrée et bien saignante qui colle parfaitement à ce grand disque de Métal Alternatif.
Le dvd bonus a été enregistré à Los Angeles en 2013 et démarre comme l’album avec Still Swingin qui est en concert un véritable hymne fédérateur. Give Me Back My Life toujours extrait de The Connection lui emboîte le pas. La foule accueille ensuite avec un grand enthousiasme Between Angels & Insects qui lui, date du 2e album. La suite du concert n’est qu’enchaînements de vieux titres comme Last Resort, Scars, Getting Away With Murder entrecoupés de morceaux plus récents comme Burn ou Silence Is The Enemy. Sans oublier ce grand moment qu’est Forever sur scène. Le groupe est donc en grande forme et la set-list est impériale, ce qui donne un concert de folie.
Cette version « Tour Edition » vaut donc son pesant d’or et vient brillamment fêter les 20 années de carrière du groupe. Le tout est à écouter à un fort volume et pour celles et ceux qui seront au HellFest, ne les ratez sous aucun prétexte !
P.S. : Fab arrête d’essayer de décrocher la lune et revient sur terre, hihi….
Tracklist Dvd :
01. Still Swingin
02. Give Me Back My Life
03. Between Angels & Insects
04. Where Did The Angels Go
05. Forever
06. Before I Die
07. Burn
08. Getting Away With Murder
09. Silence Is The Enemy
10. Scars
11. Lifeline
12. Last Resort
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- Écrit par Claude Scébat
Après vingt ans d’abstinence, Rod Stewart revient à l’écriture même s’il avoue que ça n’était pas prévu. Il se complaisait dans la série « american songbook » et l’album de noël sorti il y a quelques mois. Tout à coup voilà que nous arrive un album composé de chansons nouvelles écrites par lui. Jim Cregan son grand pote guitariste depuis plus de trente ans l’y a aidé et c’est tant mieux. Déjà la pochette à la superbe photo de Rod guitare à la main sur une plage donne envie. 68 ans mais le gaillard en parait aisément 20 de moins. Il n’y a pas de justice. Enfin bon tant mieux pour nous s’il se sent mieux en forme.
« She Makes Me Happy » ouvre le bal. Une chanson gentillette avec de la mandoline et du dulcimer. Jovial. On retrouve le Rod des 80’s avec « Can’t Stop Me Now » co-écrite avec son vieux copain Kevin Savigar. On monte le son. Toujours la même voix suave et chaude. Du grand Rod.
Et en plus il est imbattable avec ses ballades acoustiques comme « It’s Over ». Eteignez les lumières. Un amour qui s’achève…Beaucoup de violons pour une superbe chanson.
« Brighton Beach a été écrite avec Jim Cregan que l’on retrouve à la guitare acoustique. La chanson revient sur un amour de jeunesse de Rod avec qui il a eu une fille, laissée aux services d’adoption anglais. Nostalgie. Douceur. Du vécu. Accordéon…Cordes…et guitare acoustique. Assurément un grand moment comme seul Monsieur Stewart sait en faire.
« Beautiful Morning » est rock. Guitares, mandoline. Assez sympathique. Agréable.
Un moment très 70’s avec « Live the life ». Mais le son reste moderne. La même voix qu’il y a quarante ans. « Finest Woman » est un bon rock’n’roll où le bon Ronnie Wood n’aurait pas fait défaut. Taillé pour la scène.
Le slow « Time » avec sa belle intro claviers nous dit nostalgiquement que le temps n’attend personne. Un soupçon d’amertume. Il faut bien profiter du temps présent. « Picture in a Frame » est la seule reprise de ce disque. Il s’agit d’une chanson de Tom Waits qui grâce aux reprises de Rod va pouvoir réhabiliter l’aile nord de son château. Voire même s’en faire construire un autre. Un beau moment empreint de nostalgie une fois encore.
« Sexual Religion » est un tube en puissance. Disco. Un peu « Da Ya Think I’m Sexy ». Rythmée. Certains fans de la première heure pourraient être déroutés. J’aime beaucoup. Superbe solo de sax de Jimmy Roberts. « Make Love to Me Tonight » ou l’art de profiter du moment présent. Style cajun avec la slide guitar très appropriée.
Le chef d’œuvre « Pure Love » est un texte qui parle de ses enfants. Emouvant. Somptueux dirais-je. Piano, cordes, voix bouleversante.
Au final un grand Rod Stewart où l’artiste montre toute son humanité, nous ouvre son cœur en partageant avec nous ses moments de tristesse, de solitude, ses douleurs mais aussi ses joies. Et son respect pour ses fans.
Cet album irait très bien dans votre i pod ou votre auto-radio. Un album à l’ancienne comme on les aime.
Amis français, sachez que Rod Stewart viendra dans notre hexagone que si nous achetons ses disques. Alors vous savez ce qu’il vous faites à faire. Moi, c’est fait.
Un ami à moi disait que Rod Stewart était les Rolling Stones à lui tout seul. Et s’il avait raison ?
PS : monsieur Rod Stewart, pour quinze minutes d’interview avec vous, je me mettrais en kilt. Sans hésiter la moindre seconde.
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- Écrit par MetalDen
11/06/2013 : Mise en ligne de la video officielle Namaste dans la chronique, cliquer sur le lien ici.
