Fab, tu connais Mme ?? Last Autumn'S Dream - Yes
- I'Ve Fallen Into You, YYYYYYYYYYeeeeeeeessssssss ! C'est le truc que je me dis dès que Michael Erlandsson, pousse sa 1ère note vocale ; pour ceux qui ont eu la chance de lire, ici même, la chronique de SALUTE / Heart of the machine. Il(s) / elle(s) save(nt) (au cas ou j'aurai très peu de lecteur) que je suis un adepte du bonhomme.
Dans cette configuration (L.A.D.), en plus soft en solo, ou en plus heavy avec Salute. Pour moi ce chanteur est dans mon quinté de préférés. Un bouquet final d'entrée pour commencer l'album et là tu te dis, bien joué les gars, mais maintenant il va falloir pédaler pour garder tout le monde à bord après cet A.O.R. péchu, puis :
- The sound Of A Heartbreak, dans la même dynamique et un tempo bien enlevé, le niveau est maintenu. Mais L.A.D. c'est aussi et à mes oreilles, rock oblige, surtout un guitariste, Andy Malecek qui nous offre de grandes envolées guitaristiques,
Sur chaque titre il y a l'offrande, ce petit plus, dans un style à l'opposé d'un Ronnie Le Tekkro (je le cite après avoir commenté le T.N.T.), sans ce jeu ciselé mais avec des lignes mélodiques, Andy offre tout autant d'originalité. L'empreinte de Fair Warning, avec ce son plus fort. Un des plus mélodique qui soit, et quand ses interventions viennent après des nappes de claviers, de piano, elles nous plongent très rapidement dans une mélodie qui colle à la tête.
Singularié, L.A.D. c'était aussi un bassiste Marcel Jacob, co-compositeur qui offrait des interventions éblouissantes, et si Nalley son remplaçant depuis deux opus ne compose pas encore il sait se faire entendre. A la batterie, Jamie Borger avec un pédigré de pure race est d'une justesse exemplaire et quel compositeur on lui doit cet album ;
- Another Night, un départ Queenesque, que Jamie a composé seul, fera aisément partie des morceaux de cette année, peut-être, pour moi, le plus beau à ce jour. Le type même de morceau qu'on remet sur Play, avant de laisser défiler le prochain. Un mid tempo qui me correspond pleinement.
- Fool's game dans sa version L.A.D. avec un coup d'accélérateur sur le métronome, pas trop, juste ce qu'il faut pour la dépoussiére et ne pas totalement la plagier. De plus M.Bolton a laissé une telle empreinte que l'art est difficile mais ô combien réussi. Pour moi avec ce Yes, L.A.D. n'est pas loin de nous offrir son opus le plus abouti, en plus la satisfaction c'est de savoir que ces mecs en plus d'être talentueux sont prolifiques.
- If I Could Change The World, on s'approche de l'univers d'un "One" de Michael.E. en solo. J'en suis certain le type même de morceau offert à titre posthume à son compagnon de scène, dans la mélodie très prenante. L'univers de la ballade aux essences L.A.D.
- To Be With You, 100 % L.A.D. si vous lisez encore, et que vous ignorez l'existence de la discographie de ce groupe ; alors très mauvaise nouvelle, parce que des hits si t'en veux à la pelle, t'as frappé à la bonne adresse. Parfois péchu comme celui-ci. Mais dommage, pour le porte monnaie. Je me demande si L.A.D. à ce jour, ne pourrait pas être dans un dictionnaire pour définition de l'A.O.R. scandinave ? Des maîtres en la matière. et agréable cette fin à la basse.
- Michelle Don'T Live No More, Un pur mid tempo' avec des refrains portés par des choeurs et des "ouh! ouh !" (comme les aime Fab (lol)) pour sublimer le titre et le temps passe, hélas, trop vite ! L'avantage du titre long, pour le chant yaourt tu as une bonne base pour "yaourter" et tu peux faire croire que tu maîtrises le refrain.
- In This Thing Too Deep, le principe de la compo' L.A.D. du rythme, t'en veux, t'en as, ces mecs sont les Beatles de l'A.O.R., aie, j'y vais fort ; Mais ! quand est-ce que vous comprendrez que comme Bakounine, j'ai ni Dieu ni maître ? Ouais, sauf toi papa ! Un vrai côté pop, en plus collant dans les refrains que le ruban à mouches, mais également plus esthétique. Enfin, tout dépend de la taille des mouches, mais c'est un autre débat. - Still Standin' Where Ya Left Me, retenez bien ça vous servira pour chanter et impressionner vos pôtes, en disant ouais je parle couramment l'anglais (sans l'accent id..., ah ? je l'ai déja dit ! ), j'aime ce jeu de gratte qui vient poser les titres, comme le coupe-coupe taille le roseau, Andy dégage les oreilles des bruits périphériques inhérents et vous concentre sur le Hit et là encore quel HIT ! Et encore une offrande 100 % Jamie Borger, il y a du Europe dans ce titre, byzarre? Et le métronome s'affole et on tape du pied et la basse claque.
- Kissin' Goodbye My Tears, seconde reprise et compo' du 'sieur Jeff Paris, comme la ville ? Non comme le guitariste chanteur. ça n'existe pas une ville qui s'appelle "Jeff", j'suis entouré de cons ou quoi ? Tout ça au parfum de L.A.D. et ça embaume ; quelle ligne de gratte encore là. - Survivor, t'en as pas eu assez du Hit, ce disque en à pleins à tout les étages, voyons le bon côté de la chose les compos dates de 2010, les connaissant je suis sur qu'ils ont déja plusieurs titres dans divers boites,re YYEEEESS (pas terrible comme prochain nom d'album). Avec cette fois M.Erlandsson à la manette compo' et ça s'entend pour les big fans. Pour les trois titres de fin.
- Forgive You, le style reste le même que le précédent titre c'est rythmé et "hytmique", mot et terme marque déposé Maënora. - Alive, pour finir, une ballade sauce L.A.D. voire sauce Erlandsson, cela prend de suite de la profondeur ; ce mec chante divinement, mais également il compose et son côté Balsen ou "plus" si vous préférez, il porte les mots comme peu savent le faire et forcément l'émotion est palpable. Si je n'avais pas autant pissé, j'en pleurerai ! Et byzarrement les femmes préfèrent les pleureurs alors qu'elles aussi, enfin ... Oh ! Pardon l'album est fini et j'ai une livraison de bières à faire sur Montpellier. Si j'étais chanteur, je voudrai parfois sa voix ; quitte à choisir autant en avoir plusieurs. Car avec celle de Marcie Free, plus celle de Steve Overland, Richard Marx on arriverait à du très lourd. Manque plus qu'un gueulard, j'y piquerai sa voix en livrant les bières (lol).
- I'Ve Fallen Into You, YYYYYYYYYYeeeeeeeessssssss ! C'est le truc que je me dis dès que Michael Erlandsson, pousse sa 1ère note vocale ; pour ceux qui ont eu la chance de lire, ici même, la chronique de SALUTE / Heart of the machine. Il(s) / elle(s) save(nt) (au cas ou j'aurai très peu de lecteur) que je suis un adepte du bonhomme.
Dans cette configuration (L.A.D.), en plus soft en solo, ou en plus heavy avec Salute. Pour moi ce chanteur est dans mon quinté de préférés. Un bouquet final d'entrée pour commencer l'album et là tu te dis, bien joué les gars, mais maintenant il va falloir pédaler pour garder tout le monde à bord après cet A.O.R. péchu, puis :
- The sound Of A Heartbreak, dans la même dynamique et un tempo bien enlevé, le niveau est maintenu. Mais L.A.D. c'est aussi et à mes oreilles, rock oblige, surtout un guitariste, Andy Malecek qui nous offre de grandes envolées guitaristiques,
Sur chaque titre il y a l'offrande, ce petit plus, dans un style à l'opposé d'un Ronnie Le Tekkro (je le cite après avoir commenté le T.N.T.), sans ce jeu ciselé mais avec des lignes mélodiques, Andy offre tout autant d'originalité. L'empreinte de Fair Warning, avec ce son plus fort. Un des plus mélodique qui soit, et quand ses interventions viennent après des nappes de claviers, de piano, elles nous plongent très rapidement dans une mélodie qui colle à la tête.
Singularié, L.A.D. c'était aussi un bassiste Marcel Jacob, co-compositeur qui offrait des interventions éblouissantes, et si Nalley son remplaçant depuis deux opus ne compose pas encore il sait se faire entendre. A la batterie, Jamie Borger avec un pédigré de pure race est d'une justesse exemplaire et quel compositeur on lui doit cet album ;
- Another Night, un départ Queenesque, que Jamie a composé seul, fera aisément partie des morceaux de cette année, peut-être, pour moi, le plus beau à ce jour. Le type même de morceau qu'on remet sur Play, avant de laisser défiler le prochain. Un mid tempo qui me correspond pleinement.
- Fool's game dans sa version L.A.D. avec un coup d'accélérateur sur le métronome, pas trop, juste ce qu'il faut pour la dépoussiére et ne pas totalement la plagier. De plus M.Bolton a laissé une telle empreinte que l'art est difficile mais ô combien réussi. Pour moi avec ce Yes, L.A.D. n'est pas loin de nous offrir son opus le plus abouti, en plus la satisfaction c'est de savoir que ces mecs en plus d'être talentueux sont prolifiques.
- If I Could Change The World, on s'approche de l'univers d'un "One" de Michael.E. en solo. J'en suis certain le type même de morceau offert à titre posthume à son compagnon de scène, dans la mélodie très prenante. L'univers de la ballade aux essences L.A.D.
- To Be With You, 100 % L.A.D. si vous lisez encore, et que vous ignorez l'existence de la discographie de ce groupe ; alors très mauvaise nouvelle, parce que des hits si t'en veux à la pelle, t'as frappé à la bonne adresse. Parfois péchu comme celui-ci. Mais dommage, pour le porte monnaie. Je me demande si L.A.D. à ce jour, ne pourrait pas être dans un dictionnaire pour définition de l'A.O.R. scandinave ? Des maîtres en la matière. et agréable cette fin à la basse.
- Michelle Don'T Live No More, Un pur mid tempo' avec des refrains portés par des choeurs et des "ouh! ouh !" (comme les aime Fab (lol)) pour sublimer le titre et le temps passe, hélas, trop vite ! L'avantage du titre long, pour le chant yaourt tu as une bonne base pour "yaourter" et tu peux faire croire que tu maîtrises le refrain.
- In This Thing Too Deep, le principe de la compo' L.A.D. du rythme, t'en veux, t'en as, ces mecs sont les Beatles de l'A.O.R., aie, j'y vais fort ; Mais ! quand est-ce que vous comprendrez que comme Bakounine, j'ai ni Dieu ni maître ? Ouais, sauf toi papa ! Un vrai côté pop, en plus collant dans les refrains que le ruban à mouches, mais également plus esthétique. Enfin, tout dépend de la taille des mouches, mais c'est un autre débat. - Still Standin' Where Ya Left Me, retenez bien ça vous servira pour chanter et impressionner vos pôtes, en disant ouais je parle couramment l'anglais (sans l'accent id..., ah ? je l'ai déja dit ! ), j'aime ce jeu de gratte qui vient poser les titres, comme le coupe-coupe taille le roseau, Andy dégage les oreilles des bruits périphériques inhérents et vous concentre sur le Hit et là encore quel HIT ! Et encore une offrande 100 % Jamie Borger, il y a du Europe dans ce titre, byzarre? Et le métronome s'affole et on tape du pied et la basse claque.
- Kissin' Goodbye My Tears, seconde reprise et compo' du 'sieur Jeff Paris, comme la ville ? Non comme le guitariste chanteur. ça n'existe pas une ville qui s'appelle "Jeff", j'suis entouré de cons ou quoi ? Tout ça au parfum de L.A.D. et ça embaume ; quelle ligne de gratte encore là. - Survivor, t'en as pas eu assez du Hit, ce disque en à pleins à tout les étages, voyons le bon côté de la chose les compos dates de 2010, les connaissant je suis sur qu'ils ont déja plusieurs titres dans divers boites,re YYEEEESS (pas terrible comme prochain nom d'album). Avec cette fois M.Erlandsson à la manette compo' et ça s'entend pour les big fans. Pour les trois titres de fin.
- Forgive You, le style reste le même que le précédent titre c'est rythmé et "hytmique", mot et terme marque déposé Maënora. - Alive, pour finir, une ballade sauce L.A.D. voire sauce Erlandsson, cela prend de suite de la profondeur ; ce mec chante divinement, mais également il compose et son côté Balsen ou "plus" si vous préférez, il porte les mots comme peu savent le faire et forcément l'émotion est palpable. Si je n'avais pas autant pissé, j'en pleurerai ! Et byzarrement les femmes préfèrent les pleureurs alors qu'elles aussi, enfin ... Oh ! Pardon l'album est fini et j'ai une livraison de bières à faire sur Montpellier. Si j'étais chanteur, je voudrai parfois sa voix ; quitte à choisir autant en avoir plusieurs. Car avec celle de Marcie Free, plus celle de Steve Overland, Richard Marx on arriverait à du très lourd. Manque plus qu'un gueulard, j'y piquerai sa voix en livrant les bières (lol).
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