Pour commencer, la chronique définit bien l'album, bien Prof ! L'idéal pour l'écoute de cet album c'est de connaître la genèse de son histoire. La vie trash et dissolue du plus crade des groupes hard, dans sa conception de vie, Pour ceux qui auraient la chance de connaître le film « Rock Star » avec Mark Wahlberg et surtout avec l'excellente voix prêtée par Mike MATIJEVIC (Steelheart / écouter l'album « Wait »), cette approche ressemblerait presque à la version télétubies de Mötley Crüe: The dirt (le livre). Pour en avoir lu plus de 150 pages à ce jour, on ne peut pas envier ces mecs.
Mais par contre se poser la question : Y-a t-il un Dieu pour leurs fans ? C'est inespéré qu'ils aient pu avoir cette carrière et respirer encore ; bémol pour Nikki qui a été déclaré mort et qui doit sa renaissance à une double injection d'adrénaline, repris par Tarantino dans Pulp Fiction.
Quand on sait, que peut après son réveil contre avis médical, il est sorti pour s'en remettre dans les veines :-( Mais c'est cet période, ces épisodes, qui sont la trame de ce Heroïn Diaries. L'atmosphère y est lourde, très pesante ; mais les compos splendides d'émotions de styles, Nikki est vraiment un des plus grands compositeurs de la scène métal.
En écoutant cet album impossible de ne pas essayer de se transposer dans un monde d'images. Mais plutôt Tim Burton. J'y ai vu la famille Adams dans le 1er titre ; l'univers de The Wall sur le 2nd titre un mid tempo pur Hit ;
Sur le 3ème titre plus dans un cri, on se rapproche d'Operation Mindcrime ;
Morceau 4, on efface tout et on se dit que c'est un melting pot mais surtout l'identité de l'album et de ce groupe qui assure sur chacun des instruments et que dire du chant ;
5 – L'intensité descend d'un pouyem et on se dit que c'est un foutu album, beaucoup plus mélodique que hard et comme pour le 2nd titre, le côté pop de Nikki transpire ;
6 – on garde la même recette et on enchaine ; Les quelques passages parlés de Nikki rajoute à l'ambiance et la volonté de raconter une histoire.
7- Une petite excursion au cirque, mais pas le cirque à Papa. Entre celui de blackie et des Adams. J'imagine bien un clip : au milieu du chapiteau le groupe jouant et sur les strapontins les spectateurs tournant comme ds un manège, un monde de fous. L'emprise de la drogue ? Du délire ? Oui l'héroïn Diaries et à la fin du morceau une trappe s'ouvre et au choix de spectateurs on condamne la foule ou le groupe ... Magique ? Top délire ! Faut vraiment que j'arrête les écoutes, on je vais avoir une descente des stups à la maison (sauf qu'au passage, moi je ne sniffe que mes collines et ... en sportant ;-) ) ;
8 – façon meat loaf ou Rocky Horror Picture Show ? Dans l'essence de cet album j'y retrouve d'autres atmosphères, celle du Réalité virtuelle d'Anaphora que j'avais évoqué en un concept album se tenant du début à la fin et en sus l'univers « glauque » du Stage de Stage (chroniqué sur feu CrossRocks), certes différent de style mais tout aussi pesant en intensité ;
Quand on sait, que peut après son réveil contre avis médical, il est sorti pour s'en remettre dans les veines :-( Mais c'est cet période, ces épisodes, qui sont la trame de ce Heroïn Diaries. L'atmosphère y est lourde, très pesante ; mais les compos splendides d'émotions de styles, Nikki est vraiment un des plus grands compositeurs de la scène métal.
En écoutant cet album impossible de ne pas essayer de se transposer dans un monde d'images. Mais plutôt Tim Burton. J'y ai vu la famille Adams dans le 1er titre ; l'univers de The Wall sur le 2nd titre un mid tempo pur Hit ;
Sur le 3ème titre plus dans un cri, on se rapproche d'Operation Mindcrime ;
Morceau 4, on efface tout et on se dit que c'est un melting pot mais surtout l'identité de l'album et de ce groupe qui assure sur chacun des instruments et que dire du chant ;
5 – L'intensité descend d'un pouyem et on se dit que c'est un foutu album, beaucoup plus mélodique que hard et comme pour le 2nd titre, le côté pop de Nikki transpire ;
6 – on garde la même recette et on enchaine ; Les quelques passages parlés de Nikki rajoute à l'ambiance et la volonté de raconter une histoire.
7- Une petite excursion au cirque, mais pas le cirque à Papa. Entre celui de blackie et des Adams. J'imagine bien un clip : au milieu du chapiteau le groupe jouant et sur les strapontins les spectateurs tournant comme ds un manège, un monde de fous. L'emprise de la drogue ? Du délire ? Oui l'héroïn Diaries et à la fin du morceau une trappe s'ouvre et au choix de spectateurs on condamne la foule ou le groupe ... Magique ? Top délire ! Faut vraiment que j'arrête les écoutes, on je vais avoir une descente des stups à la maison (sauf qu'au passage, moi je ne sniffe que mes collines et ... en sportant ;-) ) ;
8 – façon meat loaf ou Rocky Horror Picture Show ? Dans l'essence de cet album j'y retrouve d'autres atmosphères, celle du Réalité virtuelle d'Anaphora que j'avais évoqué en un concept album se tenant du début à la fin et en sus l'univers « glauque » du Stage de Stage (chroniqué sur feu CrossRocks), certes différent de style mais tout aussi pesant en intensité ;
Je pourrai continuer et citer chaque titre, aucun ne mérite d'être retiré. On est dans le grandiose et je retiens mes mots (lol). Vous voulez une claque musicale, une oeuvre majeure ? Ne vous privez pas de cet opus ds votre Cdthèque, il est énorme, ce film, Aie lapsus c'est comme un parfum (ouais, il ya aussi du parfum le film), aux effluves de rock, du rock mélodique / dramatique. Comme j'aimerai que le film soit réalisé par un Jean-Pierre Jeunet, pour le choix des couleurs. Mais ne rêvons pas et ré écoutons l'album encore et encore et encore, Je n'ai aucune difficulté pour réappuyer sur Play à la fin des 51 mn, 51 mn sans trous ce qui est rare dans la vie de Nikki (Aie, j'ai glissé). Et enfin, si vous avez besoin d'aide pour vous imprégner de la musique, penchez vous sur l'Atwork ! Vous verrez que cet album c'est une drogue dure, non nocive et totalement jouissive ;-)
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