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Soyons francs : le label italien Frontiers Records ne produit exclusivement que des disques génériques. Un même compositeur et producteur se retrouve à travailler sur divers projets du label, ce qui aboutit à des albums trop ressemblants. Oui, cela s'est déjà fait par le passé, chez d'autres écuries. Il n'empêche que, si ton voisin tond sa pelouse à poil, tu n'es pas obligé d'en faire de même! Frontiers me donne l'impression d'être dans la même frénésie que l'industrie manga japonaise ou encore que les studios Disney : sortir le plus de productions par an, histoire de marquer le terrain sur l'année :/ A terme, je doute que cela soit bénéfique à Frontiers Records.... Ici, le disque qui à l'origine m'enthousiasmait ne m'enthousiasme plus. Rien que ce nom, ça me laisse de marbre : Alessandro Del Vecchio. Il travaillait pour Avenue Of Allies, désormais pour Frontiers Records. Non, trop, c'est trop!!! Boycott!!! :(

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