Troisième EP pour ce combo Américain de Heavy Rock Psychédélique, né en 2011, et, originaire de Ames dans l'Iowa.
Créé autour de l'ancienne rythmique de Radio Moscow, à savoir, Zack Anderson à la basse, et, Cory Berry à la batterie, la formation se complète avec l'arrivée d'un talentueux guitariste Français, nommé Doriant Sorriaux, et, une remarquable chanteuse Suédoise, en la personne d'Elin Larsson. En 2012, le groupe publie, chez Crusher Records, son premier EP, intitulé Bliss, et, dont le titre éponyme sortira en single la meme année. En 2013, les Blues Pills se produisent en Allemagne, au Rockpalast de Bonn, ce qui leur donne l'occasion d'enregistrer leur set, pour projeter la sortie d'un nouvel EP Live. La meme année, le quartet retourne en studio pour graver ce Devil Man, sorti fin 2013.
Dès l'entame, avec Devil Man, le titre éponyme de l'album, on est saisi par la voix haute et puissante d'Elin Larsson, qui nous prend aux tripes par ses gémissements ponctués, façon Grace Slick des Jefferson Airplane et, déclamés à la manière de Roger Daltrey des Who. Derrière elle, ses trois acolytes compilent un tempo, et, un riff nerveux à souhait, particulièrement efficaces. Doriant, notre Frenchy, fait hurler sa wah-wah avec un sustain très Stoogien. Meme approche sur le bien énergique, Time Is Now, avec un riff de basse et un tempo Purpelien qui mettent en valeur le talent de Zack et Corry, proches des styles de Roger Glover et Ian Paice sur ce morceau. En plus stoner, et progressif, on trouve Dig In, avec son riff basique aux accents Zeppelinien, sans oublier les chorus bien chauds et mélodiques, distillés par Doriant. Enfin, en plus heavy, on a The River, sur lequel on se gargarise avec la voix plaintive, et, profonde d'Elin, qui navigue sur des accents bluesy, à la limite de la rupture. Du grand art. Bref, vous l'aurez compris, voilà un EP bien vintage, couleur Old School Revival qui ravira les fans du genre. Pour apprécier d'avantage, on peut, aussi, naviguer sur le Net, en visionnant les quelques vidéos filmées, lors du Rockpalast, où vous trouverez d'autres titres, tout aussi groovy et prenant, à vous en donner la chair de poule. Plus que jamais, avec ces quatre formidables individualités, les Blues Pills apparaissent comme une formation atmosphèrique, plutot interessante, et, aussi passionnante que pouvait l'etre le groupe Free dans les années 70.
Alors, vous aussi, laissez vous tenter, et, goutez, avec délice, ces Pilules Bleues, d'une douce saveur nostalgique, comme l'était celle de la madeleine de Proust.
Dès l'entame, avec Devil Man, le titre éponyme de l'album, on est saisi par la voix haute et puissante d'Elin Larsson, qui nous prend aux tripes par ses gémissements ponctués, façon Grace Slick des Jefferson Airplane et, déclamés à la manière de Roger Daltrey des Who. Derrière elle, ses trois acolytes compilent un tempo, et, un riff nerveux à souhait, particulièrement efficaces. Doriant, notre Frenchy, fait hurler sa wah-wah avec un sustain très Stoogien. Meme approche sur le bien énergique, Time Is Now, avec un riff de basse et un tempo Purpelien qui mettent en valeur le talent de Zack et Corry, proches des styles de Roger Glover et Ian Paice sur ce morceau. En plus stoner, et progressif, on trouve Dig In, avec son riff basique aux accents Zeppelinien, sans oublier les chorus bien chauds et mélodiques, distillés par Doriant. Enfin, en plus heavy, on a The River, sur lequel on se gargarise avec la voix plaintive, et, profonde d'Elin, qui navigue sur des accents bluesy, à la limite de la rupture. Du grand art. Bref, vous l'aurez compris, voilà un EP bien vintage, couleur Old School Revival qui ravira les fans du genre. Pour apprécier d'avantage, on peut, aussi, naviguer sur le Net, en visionnant les quelques vidéos filmées, lors du Rockpalast, où vous trouverez d'autres titres, tout aussi groovy et prenant, à vous en donner la chair de poule. Plus que jamais, avec ces quatre formidables individualités, les Blues Pills apparaissent comme une formation atmosphèrique, plutot interessante, et, aussi passionnante que pouvait l'etre le groupe Free dans les années 70.
Alors, vous aussi, laissez vous tenter, et, goutez, avec délice, ces Pilules Bleues, d'une douce saveur nostalgique, comme l'était celle de la madeleine de Proust.
Tracklist : | Line Up : | |
1. Devil Man |
Zack Anderson Basse Dorian Sorriaux Guitare Elin Larsson Chant Cory Jack Berry: Guitare Jonas Moses Askerlund Batterie |
Label : | Nuclear Blast Records |
Sortie : | 18/10/2013 |
Production : | n/a |
Discographie : |
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