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Il y a des festivals qui collent à la vie d’une ville, d’une région, d’une musique,

des fois ça vous arrive aussi avec un slip, le premier rentre dans votre tête (entre les deux hémisphères ?) ; par contre le second, comme disait Neptune (roi des mers) c’est (désolé c’est Neptune qui le dit) dans la raie.
Le Glanum Rock est dans cette catégorie, la première. Dans une région A.O.C. oléicole tout était, une fois encore, parfaitement huilé. Un truc qui pourrait aider dans mon second exemple, oublions le. Ouais, comme un torse de village people, sans les poils (zéro tracas, zéro blalbla).
 
Le Glanum revenait sur sa précédente recette, deux soirs, deux styles. Une première soirée Rock, qui m’avait permis l’année dernière de découvrir au minimum un top groupe : Kyasma. Qu’allait-il en être cette année ? Dès cette première soirée ?
 
Pour être franc, chaque année, chaque soir, je repars avec un bon coup de cœur (minima). Et mon shorty propre également. La musique aura collé, le reste … Merci ça va !
Cette année n’aura pas dérogé à la règle, la raison est simple … Les organisateurs savent faire des plateaux et prendre des risques pour aller, aussi bien, sur le terrain de la découverte.
Saluons là, l’organisation en général de celles et ceux qui œuvrent pour vous décoller le c#l de vos fauteuils. Un pays où on trouve des musiciens et des organisateurs de talents ; il ne manque que le public pour faire la bonne ‘teuf’ ! Mais ce soir c’était correct ++ pour ce dernier point.
 
Cette année, toute fois il y avait un gros changement … Le cadre :
L’Alpilium ! Nouvelle salle au joli nom d’appartenance à une commune, une région, un nom pour un lieu qui ouvre de fort belle manière son inauguration Rock. Une salle justement nommée par celui qui officiait cette année comme chef d’orchestre, le nouveau Président de l’association : David. Il y avait aussi le plein de monde autour de lui (dédicace)  il ‘Y à Elle’ et le reflet de son miroir (ou l’inverse ?) :‘La petite sirène’ et plus encore ; que du beau monde. Des lieux où on se sent bien avant que les amplis chauffent et régurgitent ce qu’on leur donne. Il y avait, en sus, différents cadres et espaces de vie pour être bien au long de la journée.
 
Je vous entends habitués de mes frasques … Trois chapitres passés et on reste dans le soft.
Mais on parle de Rock les amis et je ne fais pas les choses à moitié. Contrairement à un lépreux après un coït. Alors, patience !
 
Pour cette soirée, quatre groupes officiaient, dont un très bien connu de la presse Rock Meeting.
Pour écrire le week-end, la préface et l’’histoire du Glanum à l’Alpilium, mes ‘jeunes & talentueux amis d’Harmonic Generator ouvraient la soirée et le show. Harmonic Generator et RockMeeting c’est moult concerts couverts, un EP & un album, que peut-on ajouter/rajouter sur ce groupe ?
Commençons par ce que tout le monde sait, ce groupe a la classe des grands, un bel avenir et tous les atouts pour devenir un très GRAND de demain, en France certes mais également, sur la bouboule bleu.
Ouvrir sur une soirée ‘simplement’ Rock, pour un groupe qui contient plus d’énergie qu’un coca secoué sous mentos, qu’un dernier pet de lavement avant coloscopie ; ce n’est plus pari osé mais … Pari outragé ? Pari brisé ? Pari martyrisé mais Pari libéré ? Nooon, pari relevé. En plus nous ne sommes que le 23 (ce soir là), soit deux jours trop tôt.
« Oui, nous sommes ici. Nous sommes ici chez nous dans ‘l’Alpilium/pari’ levé, debout pour se libérer, qui a su le faire de ses mains. Non, nous ne dissimulerons pas cette émotion profonde et sacrée. Il y a là des minutes, nous le sentons tous, qui dépassent chacune de nos pauvres vies. »
(Désolé pour l’emprunt Charlot, mais je fais un peu d’histoire, car oui moi aussi je suis le matin au réveil Gaulliste : L’érection matinal, l’amie de l’haleine de chacal !)
Soit dit en passant, quatre groupes deux gaules … Ce ne serait pas trop peu ? Comme dirait Mme Maënora ! Quoi ? Qu’est-ce que j’ai dit ? Je parle musique ! Entre parenthèse, ça ne compte pas, c’est invisible et personne ne l’a vu !
 
Ce que j’ai vraiment aimé, sur ce premier set : un chanteur moins en voix (ce soir), car ‘Oui !’ ; Quentin fait parti de la planète Rock ‘gros organe’ ………… Vocal, pffff. Et ce soir, en étant moins en puissance, il aura fallu qu’il joue, module, travaille, œuvre, pioche, creuse, fouille dans son vécu, son expérience et trouve,  déniche, dépose enfin sa partition, bilan ? … Quentin, tu m’as sorti (à mon goût) ta meilleure prestation ! Car dans l’émotion, comme sur la ballade – Power ballade ‘Partners In Crime’, tu as magnifié les lignes vocales, les harmonies en dualité assuré avec Charles était (comment il dit dans ce ‘Mask’ ? ) Splendideee !
Cependant avec la brochette qui t’entoure, même Katy Perry, ferait faire son coming-Out à Charl’s (vieille histoire).
Sur ‘Partners In Crime’ il y avait aussi ce petit plus de lead pour Renaud, au 8ème titre du set, comme pour le 8ème jour & forcément … Nico’ se sentait appeler pour enfin plus faire vrombir et claquer sa basse. C’est vraiment comme ça, comme sur le son de l’album que cet instrument doit sonner. Je ne ferai pas de coming-out, mais c’est comme ça que je t’aime. Impose toi, tu devrais avoir aucun mal quant on voit ta garde-robe et là le terme ‘garde-robe’ tombe juste à propos, à moins que Gorillaz fasse aussi dans le chasuble ? La grosse layette (voir les photos) ?
Maintenant en pro’ qu’ils sont, il faut les voir faire jouer la foule, l’embarquer … Mais tout en pensant à remercier le festival et ses organisateurs.
C’est si facile, quand on commence avec un ‘Rising Star’ et un tel jeu de lumières. Qu’on a dans son répertoire des titres plus-plus ‘hymniques’ comme ‘Dead On The Ground’, que nos deux gratteux donnent dans les backings-vocaux, sur ce titre qui nous livre son fameux chorus à deux fois six cordes. C’est si facile !!!
Alors quand s’enchaine un ‘Fire’, pur esprit du groupe avec quelques réminiscences d’un Hanoï Rock, ses solos pour chaque six cordistes, on passe dans la case boni.
J’en suis encore ‘Général’ à ce stade du festival. « Pariiiiiiiii gonflé ! »
Alors que demande le peuple ? Qu’on l’associe à la fête ? Comme sur ‘Nobody Dies’, où la salle est à terre, accroupi, à genoux, demandant qu’à exploser comme le font les peaux cognées par Alex.
Dois-je parler du suicide d’une baguette en  Live ? Un titre qui nous sert un superbe pont batterie – chant.
Faisons le difficile, oui il pouvait manquer une chose, plus de théâtral J. Mais ce soir vous avez ouvert, pour dire ‘merci’ à celles et ceux qui vous permettent d’écrire … Votre histoire. Offrant aussi par ce petit manque un sacré service pour la suite, un peu de place aux autres.
Je ne peux passer sous silence le déhanché de Golum habitant Quentin sur le départ de ‘Marseille’, ou l’inverse ? à moins que ? à moins que … C’est ça j’ai trouvé ? Le slip dans la raie, c’est pour toi ?
Enfin, quelques mots pour féliciter ce public reprenant en chœur le refrain sur le dernier titre.
En conclusion : Bon set et parfois quand c’est court … C’est vraiment trop bon. Et quand je pense que Mme Maënora ne pourra jamais dire ça !!! Oui & là pas de ‘pari’. (Car comme dirait Gabin : « Mais ça, j´le sais ! »).
 
 
Pour poursuivre la soirée, bien lancée : Gomorra. Un groupe qui joue à domicile, venu en voisin. Mille excuses au groupe, mais à ce jour Gomorra surtout mon pote Jeff !
Avant le show, un bon moment et ce plaisir de rediscuter avec son 1st lead guitare, Jeff. Voilà deux ans que nous n’avions pas été dans cette configuration, moi chroniqueur toi musicien et là dernière fois c’était au Glanum en extérieur. Gomorra nous sert toujours son Power Rock, aux influences entre Hard et à moindre dose (maintenant) new-wave, le tout est toujours porté par un set majoritairement en Français, par son lead vocal : Jérôme. Dès l’entame du show, on entend que Jeff est un vrai lead guitare ; comme sur ‘Sarah’. Fortement épaulé par Greg, qui officie, plus, dans la part chorus et ambiance. Deux gratteux, qui savent jouer ! Qui offrent une belle complémentarité.
Le groupe reste soudé - consolidé sur sa base, par le temps et par les shows : Simon (Giess) et Niko, tapent les peaux et claquent les cordes pour ce mur de fond. Niko accompagne très souvent et toujours justement les backings du groupe. Jérôme n’a plus qu’à poser la voix, un timbre qui pour moi aura laissé quelques plumes sur la balance, la fameuse balance musical, celle qui décide de la soirée. Oui je regrette de n’avoir pas assez bien perçu le sens des textes en Live. Comme on les perçoit sur l’EP. Car j’aime quand le Rock s’exprime dans ma langue, celle du Maënora !
Croyez moi, des titres méritent largement ce tapis déroulé, ces engrenages usinés façon orfèvrerie. Par exemple : ‘Boire à ton âme’. Certainement un des hymnes du groupe.
Sur ce titre on comprend l’amitié qui les lie avec Indicible machine. Car Gomorra et I.M officient en partie dans un registre parfois similaire, moins dans l’ambiance pour nos vedettes du soir et plus dans un schéma  Rock. De facto des reprises comme ‘Hush’ & ‘Thunderstruck’ collent bien à leur set.
 
Plane et somnole aussi ce parfum de Rock Français (une sous-sous influence cachée de Noir Désir), comme sur ‘Lady’. Un tempo saccadé, entre Punk-Pop, avec des chœurs- refrains accessibles, percutants. Des variations rythmiques où judicieusement, couper la distors devient un vrai plus. Comme ces changement de phrasés musicaux et vocaux avec montées en puissances. Un titre où je perçois un jeu de batterie plus aéré & plus à ma convenance ;-) Un morceau qui claque !
Règne aussi ce côté Fusion, comme sur ‘Des Armes’, un titre où se réinvite l’hygiaphone. Et pour info’ ;-) : « Il n’y a pas que ‘Emma’ qui aime ça ! »
Le set ce termine par un ‘Exorcice You’, qui lui aussi aurait mérité, une mise en scène. On en reparle autour d’un verre ?
‘Go-morra’ ce n’est pas du ‘scotch pour souris’, (Je sais c’est tout pourri, mais comme qui dirait ‘ta bouche’ ! C’est moi qui écris ! Alors certes, ça ne s’attrape pas à la tapette.
Entre nous, désolé, mais pourquoi ce nom, car en plus sur le Net, c’est direct le film. Un conseil ? Il faut l’allonger, le modifier, ne sait-je.
Aujourd’hui le Net offre une vitrine de recherche à qui sait trouver, mais surtout se démarquer. Essentiel ! Mais aussi une fosse sans fin à qui ne sait l’utiliser, on retourne en eaux troubles, au plus profond.
Un exemple pour comprendre J On tape mon pseudo et direct vous êtes relié au seul à l’unique !
Celui qui était dans la fosse (pas profonde) avec son calepin, pour le Glanum mais aussi pour vous ;-)
 
Enfin, pour le clap de fin un titre ‘hymnique’ des frères Young, un ‘Thunderstruck’ qui s’apprécie toujours autant.
Il vous reste une étape : Travaillez à livrer des titres en format petite galette brillante ; Oui un CD !
 
Bilan, un très bon show pour le groupe qui aura su se faire désirer pour un rappel ; un rappel impossible sur un festival.
Avec ma mention perso’ : Avoir su remercier comme il le fallait le public. Une belle sortie en rangs d’oignons face au public ! Belle copie rendue ! Au plaisir de notre prochaine rencontre.
 
 
Après avoir installé le Rock à l’Alpilium, collé des grosses notes bien grasses, bien Rock  sur les parois de la salle. La question se posait : Serait-il possible pour ‘FACE le groupe’.
Un groupe à la valeur reconnue, à la reconnaissance exponentielle qui doit à ce stade tout nettoyer pour imposer son univers ?
Servant un show quasi inconnu à Saint Rémy  et en pure découverte Live pour moi. Oui ! Que Live, car, Re oui ! Je prépare mes rencontres.
Pour info’ : Amateur veut dire : pas payé ‘pécuniairement’ (en un seul mot). Un avantage : je vais ‘là’ où je veux et mes paiements sont royaux … Sur la part plaisir ; les rencontres, les échanges (quand c’est possible) et puis surtout sur les écoutes.
Pour ça que Mme m’accorde les festivals de Hard et pas le festival du Hard ? Il  faudra que je lui pose la question.
Dans ce domaine ‘Face’ (le groupe [*]) a rempli ma besace ‘plaisir découverte’.
Il y a une recette ‘Face’, des ingrédients forts, un cadre posé. Le savoir faire pour combiner tout ça parfaitement et dans ce domaine, on peut faire confiance à Tom comme Co-Chef Musicos étoilé.
Qui partage la toque et les étoiles avec sa compagne de ‘front-scène’, Pauline. Car qui dit Face, dit miroir, dit reflet, donc au départ un duo. Deux noms pour asseoir l’identité du groupe.
[*] Astuce et petite aide ! La bonne méthode pour tomber directement sur eux sur la toile.
 
Tom, c’est aussi ce côté dandy Parigot, du type même qui aurait grandi dans une capitale de culture, c’est évident, ça s’entend ! Car ressortir autant d’atmosphères, de genres combinés, à un tel âge demande une belle soif, intense et abreuvée.
Une belle soif apaisée et contrôlée … Comme celle possédée par ces hommes doués d'intelligence, qui ont cette soif d'éducation, semblable à la soif de pluie qu'éprouve un champ de culture.
D’une autre manière, la grande soif de mon pote Robert, dit Bob l’éponge qui tête et qui possède en sus ces effluves marines, à trop picoler il en oubli de changer de dessous d’où l’odeur d’algue pourrie. la trop forte humidité de ses dessous, de mon pote abreuvé qui perd là toute culture.
Mais le groupe lui … Ne perd pas LA FACE !
C’est un chant/champ ni noyé, ni asséché ; parfaitement irrigué. Oups, je pars en sucette et personne ne me prévient !?!?!
 
Amusant de voir et entendre aussi le personnage de Pauline, espiègle, trop facile de la comparer à des chanteuses allumées (attention nu pieds et bottes = ampoules), entre une Nina Hagen, Kate Bush et Catherine Ringer. Comparaison plus aisée encore et appuyée par le duo des Rita et ce ‘couple de Face’. On oublie mon ouverture de Live et mon ‘couple de fesses’. Une illustration quasi ‘Toonesque’.
En clair, … C’est un personnage ! Un joli personnage scénique.
J’y ai aussi bien entendu une très forte et belle originalité, plus dans l’approche d’un Klaus Nomi. Car partir entre Pop punk saupoudrer une forte dose de lyrique, assoir l’ensemble sur une base 70 … C’est un tel patchwork de style que ça sent la pur originalité.
Le risque : C’est soit trop en couleurs et c’est laid, ou savamment dosé, impossible à recopier et envoutant. Mais je réponds :
 « Que nenni, peau de ch’boub, rien à voir avec le patchwork hideux sur la plage arrière des poubelles roulantes de ces mêmes vielles années. »
Je le dis, l’affirme et le prouve, pour preuve et à tel point que déjà des grands noms viennent dans les sillons de leur gloire naissante et en réel devenir : Boris Bergman (himself, lui-même en français, Él mismo en Espagnol, Er selbst en Teuton, ou ZiVa sur la tête de ma mère c’est lui en Banlieue de cage d’escalier), M. ‘BoboMan’, ce grand écrivain européen – Parisien à la culture écrite aussi grande et vaste que sa palette, d’artiste avec qui il aura contribué, l’atteste !
II y a du talent dans les mots quand ils s’associent, se combinent avec la musique. L’Art combiné de ‘Face’ peut être une vraie vitrine, de celle qu’on regarde émerveillé en fin d’année, en fin de soirée pour rêver, voyager.
Il y a aussi une incontestable musicalité, avec des musiciens de talent et … Surtout cet éternel voyage cinématographique construit. Encore plus visible sur une scène de Live.
La raison est simple et aussi épurée que l’est la batterie de Nicolas (Musset), nettoyé du superflu pour sonner pour LE morceau. Un batteur aussi jeune que bon, une efficacité et une musicalité qui me font voyager.
A la manière d’un Chris Gaylor (de The All-American Rejects).
Mais il y a tout autant à dire sur la basse et le jeu de Raphael (Fernandez). J’aime et suis grand fan de l’omniprésence de cet instrument. Ce groupe est dangereux, il devient difficile de baisser les yeux et d’annoter, plane l’envie d’être juste spectateur. Toujours peur de rater la micro séquence qui manquera à l’entièreté de la soirée.
Un patchwork, avec peu de pièces Pourrait ne pas couvrir assez, alors il y a aussi un autre quidam, venant apporter plus de relief à l’ensemble : Bootzy Bootz: Guitare et claviers. Des copies musicales parfaites ! Un genre qui se veut studio et qui excelle en Live.
C’est impressionnant de constater le remplissage musical qui aura été réalisé ce soir. C’est un mur infranchissable. Aussi fort en sonorité qu’il l’aura été agréable par son jeu de lumières.
 
Chez Tom, le choix, la priorité retenue est de donner l’importance à l’instrument guitare dans les riffs. Quelques chorus épars viennent parfois dessiner les contours d’un refrain, agrémenter un pont, une ambiance. Un seul solo viendra démontrer les capacités que possèdent Tom, il pourrait aisément aller vers ce jeu, mais l’approche des titres ne le nécessite pas. Il y aura aussi eu cet échange complice à deux grattes.
Pour aveu, même si je suis guitare addict, je n’ai pas été privé une seule seconde de la soirée. Par exemple, ‘Pas Fait Exprès’ (texte de Boris B.) il y a toujours cette recherche et la trouvaille des chorus pour parfaire le titre. Un riff qui impose sa marque, pour servir des sonorités anciennes, comme un accent justement posé, savamment dosé.
Comme si D.A.D. était dépouillé de sa facette Hard. J’affectionne particulièrement ces parfums d’ambiance qui flotte dans l’air et dans l’air. Des chœurs aux petits oignons viennent assoir ce titre dans un fauteuil grand confort.
L’ensemble du groupe aura habillé, confectionné chaque titre. C’est un synopsis par titre, le terme patchwork colle parfaitement à la variation de couleurs proposées. Un arc en ciel à douze couleurs.
 Il y a du Alpha Beat et du Hush sound dans leur univers, un quelque chose d’Elliot Minor et All Amercan Rejects, mais avec une forte appartenance au Rock Français à leur propre identité.
Je cite des groupes Anglais et pourtant sur ‘Fashion Week’ ce sont sur des parfums Funk période Shaft & U.S. que les guitares viennent nous happer. Un morceau où le cœur poumon, basse batterie nous monte un mur de parpaings bariolé. Un morceau très Pop Rock. Très FACE !
Sur le second titre ‘Mermaid’ j’y ai perçu une effluve de Kyasma. Sur la scène le feu follet Pauline s’exprime, s’agite, délivre le show ; sur ‘Lady Shark’ (texte de Boris B.), une folie naturelle et qui joue toujours ‘juste’. Un morceau où le groove batterie éveille mes sens.
Une belle folie qu’on retrouve tout au long du set , comme sur ‘Penguin’ avec une batterie qui en impose sous les lumières.
Le grain de voix de Tom  est plus à situer, dans un registre vocal parfois, proche d’un Born Crain. Exemple ‘Grey Old Man’, flirtant aussi avec l’esprit du Belge. Un morceau qui vient servir un superbe chorus très identitaire. Cependant, là où le bat pourrait blesser : Transformer un tel titre sur des longueurs musicales, type prog’. Je me comprends, disponible pour en parler ;-)
Donc deux voix dissociables et qui excellent ensemble, dans la tierce, la dualité, l’échange. Exemple ‘She’s Me’.
Pauline qu’on retrouve parfois derrière son clavier pour une pop-rock enlevée ‘The One’, ou derrière un sourire malicieux à la Kim Wilde en début de titre ;-). Un morceau où la wah-wah, en liesse ? En laisse ? Vient de fort belle manière échanger avec un slap de basse, qui claque et qui envoie de la matière.
Des musiciens qui jouent en emmenant avec eux chacun de leur comparse.  ‘La Tache’ ; un titre dans l’univers d’un Orchestre du splendid Rock Funkysé. Au parfum de 70 type Fuzz popularisé par Sir Jimi Hendrix. On y retrouve encore là une trame, un scénario & encore … Une très bonne batterie.
Dois-je parler du strip-tease de … Pieds ? Des bottes dans le Sud ?
 
Pendant ‘Zama Miro’ (tjrs de B.B pour le texte) qui s’ouvre sur un arpège, avant la montée crescendo du combo. Sur ce chant, même si il y a une once d’Olivia Ruiz, il y a surtout l’impression d’un court métrage ciné’. Ambiance Face ! Une reprise de Zanini, (sa seule chanson célèbre ?), ‘Tu veux ou tu veux pas’ qui devient Pop-Rock voire Punkysé.
‘Take Me Come’ ouvert au clavier avec une sonorité de vieux piano qui apporte au morceau de l’originalité, son identité, un chorus de gratte, un changement de rythme, avec le métronome qui grimpe dans les tours pour nous servir LE solo de gratte de la soirée. Bien comme il faut !
Pour le final c’est le clip que vous pouvez vous offrir sur le Net ‘My Bunny Elephant’ un titre tubesque, pur empreinte du groupe. Moi j’adhère à cet univers et je vous invite au voyage.
J’ai pris FACE en pleine tronche ; à tel point que je me suis auto satisfait, qu’il ne s’appelle pas FION !
 
 
Pour clôturer une soirée, qui m’avait déjà amené ma dose de plaisir, il restait toutefois un groupe.
Un indice il se nomme : « A Kind Of Queen » ; sur le coup j’ai été un peu déçu, j’espérais les voir débouler sur scène avec un objet phallique pour le ‘God Save The Queen’ mais non, ce n’est pas un Tribute sexué pour Elisabeth mais bien pour Freddie et consort, même si c’est plutôt le Prince consort et pas le God qu’on sort ! Dernière précision, pas comme dans la chanson en descendant de la montagne, mais en descendant les poubelles.
Oups ! Mes vers sont embarqués par la fin du Live Report de FACE, voire même le dernier mot avant le point bâton ; Mea Culpa !
 
A Kind Of Queen, ouvrait ce soir ensemble son premier show pour … Clôturer la soirée, un défi justifié par la renommé des musiciens, du Tribute en question et à fortiori du répertoire.
Un groupe ancien de quelques mois. Préparé pour ‘cet’ évènement.
Alors qu’en ai-je pensé ? Comme l’a dit Francis Blanche [grand Philosophe devant l’éternel, petit bonhomme devant sa glace & avec qui je partage plusieurs pensées, comme : Plus je connais les hommes, plus j’aime les femmes] : « (Pas le groupe) Face au monde qui change, mieux vaut penser le changement que changer de pansement ; » Et comme dirait Sony : ‘La Play’ est ouverte’. Faites vos jeux ! (Aie ! Quel merdier dans ma tête, faudra que je range un jour !!!)
Alors A Kind Of Queen  ça coule propre, ou c’est purulent ?
Je fais partie de ces inconditionnels de Queen, (plus) du vivant de Freddie, car pour mémoire son départ avait ouvert une hémorragie, d’overdoses de passages. Plus de diffusions pour ce groupe planétaire en situation post Morten, ce qui m’avait fait saturer. Puis basculer vers l’univers proche et parfois plus barré d’un Valentine. Mais toutefois … Retrouver des titres qui ont tant apporté à  ma culture m’a fait somme toute du bien, même si je dois l’avouer reprendre du Queen, avec le meilleur groupe du monde, parfois même avec Queen ‘le groupe’, sans son incontestable leader … ça ferait ‘presque’ un peu Karaoké. Certainement le répertoire le plus dur à reprendre.
Là où A Kind Of Queen, a trouvé une belle pirouette ; voire LA c’est de faire raisonner un beau mur de chœurs, car PERSONNE (et surtout pas Paul) ne chante comme Freddie … Il faut en être conscient. Il s’agit de rendre hommage à un des plus grands chanteurs qu’ait porté cette planète. A ce stade, le répertoire d’un Gainsbourg (par exemple) semblerait plus aisé … Vocalement. Mais différent je l’accorde.
Mon seul petit bémol serait sur la durée, passer en quatrième groupe et vouloir passer 16 titres est sans doute légèrement maladroit. Non ? Le même set avec un ou deux groupes en moins et je n’en fais même pas allusion ;-)
Il y a eut de bons moments, de grands moments et il faudra revoir ce groupe après quelques concerts pour apprécier, ce qu’il peut  vraiment donner. Car avec un tel combo, un tel choix de Tribute, un nombre conséquent de scène s’ouvre à eux. Ma mention du soir ira à la lead guitare : Nicolas est au sommet de son art !
Il y a beaucoup de talents dans ce groupe, qui justifiait sa position de tête d’affiche.
 
Mon seul saucissonnage, sera sur une rondelle de choix : ‘Bohemian Rhapsody’ un titre brillamment commencé, haut dans les tours, perché immédiatement dans le rayon grande classe et qui semble finir entre répèt’ et gros délire Prog’ ; à mon sens ? Pas tout compris.
La cylindrée est là, avec autant de bourrins pour tirer le carrosse royal, attention les … rênes ! Attention à qui tire les rênes, comme dirait le chroniqueur et à qui tire la Reine comme dirait Charles (pas Charles petites pattes d’H.G., mais Charles grandes oreilles, celui Camilla  #*@µ dans … Encore une fois je m’égare.) Donc je ne saucissonnerais pas sur ‘Another One Bites In The Dust’, je pourrais glisser plus encore.
Je pense que le groupe aura pu apprécier de commencer à l’Alpilium, avec les moyens donnés côté scène, c’est ‘couscous’. Comme qui dirait une femme politique d’une région où Cha rentre partout : « A Kind of GroKou2bol ! »
D’un point de vue musicale, à ce jour, on est dans le racé Anglais : La ligne Aston pour la grosse enveloppe et Martine à la plage pour le rendu final. La balle est dans votre camp. L’idéal c’est le ‘jokari’ il y a une élastique et la balle revient toute seule. Je vous souhaite, sincèrement, de vous éclater et de donner beaucoup de plaisir car Queen est au dessus de la monarchie, simplement : « mythique ! ». Au-delà du sommet de l’Olympe quant à sa voix bien plus haut encore.
Sur des sommets où des scènes où on pourrait se recroiser.
 
Voilà qui m’amènera à ne presque pas finir comme mon grand penseur de ce Live Report Francis :
« Il ne suffit pas d'être inutile. Encore faut-il être odieux ! »
Mieux vaut « Être utile et être au/x Dieu/x », enfin si vous êtes athées … je veux bien être votre divinité !
F(rancis).B(lanche). Avec de telles initiales il aurait du écrire ses citations sur des murs, disait :
 
Enfin, toujours sérieusement, comme l’entièreté de ce Live Report : Je m’associe aux présents pour remercier la commune de Saint Rémy de Provence, qui offre là une seizième année au Glanum !
 
 
Harmonic Generator : Chant : Quentin ; Guitares : Renaud & Charles ; Basse : Nicolas ; Batterie : Alex.
https://www.facebook.com/HarmonicGenerator?fref=ts
Set List : Rising Star, Bad Things, Secret Garden, Break My Chains, Dead On The Ground, Fire, I Feel Fine, Partners In Crime, Nobody Dies, Marseille.
 
Gomorra : Chant : Jérôme ; Guitares : Jeff & Greg ; Basse : Niko ; Batterie : Giess.
https://www.facebook.com/pages/Gomorra/159524790759740
Set List : Sarah, Boire à ton âme, La pénitence, Hush, We Are Lost, à la longue, Emma, Lady, Burning Man, Des Armes, Exorcice You, Thunderstruck.
 
Face : Pauline, Tom, Bootzy Bootz, Raphael, Nicolas.
https://www.facebook.com/FACElegroupe?fref=ts
Set List : What The Puck, Marmaid, Tombola (Boris B.), Lady Shark (Boris B.), Grey Old Man, She’s M, Fashion Week, Pas fait exprès (Boris B.), The One, Zamamiro (Boris B.),, Penguin, La tâche (Boris B.), Tu veux ou tu veux pas, Take Me Come, My Bunny Elephant.
 
A Kind Of Queen : chant/guitare : Cyril - guitare/chœurs: Nicolas - clavier/chœurs: Frédéric - basse/chœurs: Guillaume - batterie/chœurs: Yves-André Morelli
https://www.facebook.com/kindofqueen
Set List : One Vision, Fat Bottomed Girl, Don’t Stop Me Now, Tie Your Mother Down, Hammer To Fall, I Want It All, Bohemian Rhapsody, Under Pressure, A Kind Of Magic, Who Wants To Live Forever, I Want To Break Free, Radio Gaga, Another One Bites The Dust, We Will Rock You, We Are The Champions, The Show Must Go On.

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