A ceci prêt, ce que Jon B.J nous pond parfois en effluves country, c’est John M qui le fait transpirer dans son univers musical, pour seul exemple la reprise écourtée en bonus-track du titre Eponym en fin d’album.
Je sais … Ce n’est pas très clair ; mais pour les chroniques claires je vous conseille de me zapper !
Le changement de look de John (Clayton) MAYER me fait quant à lui penser à celui de Ryan CABRERA, une image moins gendre idéal avec ce petit côté Bad Boy façon Jack Sparrow, un changement de look sans incidence ni bouleversement pour la trame musicale. La voix ne se ballade pas sur plusieurs octave, mais reste dans une identité et registre proche de chanteur soul-pop-rock.
Bon nombres de guitaristes de Hard ont dans leurs jeux, des réminiscences de Rock / Blues, cela permet par exemple à Joe B. de passer aisément de son univers solo à Black Country.
En exemple défunt, le premier nom qui me vient en tête est celui de Gary MOORE.
Si il fallait retirer tout ce qui fait l’attaque du Bluesman permettant de pouvoir glisser au Hard et inversement, on arriverait facilement à définir le phrasé guitaristique de John. Un jeu plus éthéré, léger, aérien ; qu’on pourrait aussi définir sous le terme pureté.
Ce jeu toujours et tout en finesse / subtilité, ou alterne les grattes sèches. Allant jusqu’à nous pondre une intro digne d’un Marcel DADI comme sur The Edge Of Worry. Un titre ou flotte les relents d’un chant de folklore Irlandais.
Il serait beaucoup plus aisé de chercher des points communs avec Eric CLAPTON, Robbert CRAY, Robben FORD, etc. mais la facilité n’est pas le genre de la maison ; non ! Pas chez Rock Meeting ;-)
Même si ce garçon reconnait s’inspirer du grand Stevie Ray Vaughan.
Les guitaristes me comprendront, si je précise que pour définir l’esprit, la différence de jeu entre John M. et Joe B. ; on aurait tendance à chanter les solos et les chorus du second. Quant pour John c’est la mélodie que l’on fredonne.
Pour les connaisseurs de ce chanteur guitariste, je préciserai qu’on reste dans son univers soft, ou la mélodie reste fil conducteur sur chaque compo’ de l’opus. De manière éparse tout au long de l’album, l’occasion est donnée d’entendre : Des lignes de pianos, comme sur Queen Of California ; Harmonicas sur Born And Raised, et Whiskey, Whiskey, Whiskey, des rythmes ballade. Au rayon « On se frotte sur des tempos lents », John nous délivre en sus Love Is A Verb avec ses moins de 2mn30 pour conclure A Face To Call Home, slow avec ce petit plus d’énergie dans sa composition et sa batterie train rythmique du refrain & chorus à l’unisson ; en locomotive les instruments - voix. Autre originalité, de la trompette sur Walt Grace’s Submarine Test, Januray 1967. Rien d’étonnant chez ce multi-instrumentiste.
Les morceaux sont majoritairement courts, voire très courts. Surtout pour un album de guitariste ! On oscille entre 2 : 01 et 5 : 22, avec plusieurs titres avoisinant les trois minutes, on pourrait trouver cela frustrant ; mais John délivre à chaque fois l’essentiel.
Petite confidence, je préfère 10mn avec une charmante jeune fille ; qu’une heure avec sa maman à faire peur ou sa copine flétrie. Je pense que c’est pareil pour les lectrices, elle préfère choisir un week-end avec moi plutôt que de prendre mes collègues, qui ne pense qu’à écrire des chroniques !
Cinq minutes de plaisir en lieu et place de 20 de tortures et pourtant ??? … Mes chro’s !!!!
Comme je vous comprends ! Longues et décalées !
Shadow Days, Something Like Olivia collent parfaitement au précédent opus, pour celles et ceux qui l’auraient raté … Histoire de faire court, je vous suggère l’ensemble de sa discographie.
Les amateurs de grattes acoustiques, apprécieront les glissées de manches, ils pourront s’offrir quelques exercices et sources d’inspirations (exemple) : Speak For Me.
If I Ever Get Around To Living flirte sévèrement avec ce que pourrait faire un mec comme Matt Wertz, pour étoffer plus encore la palette de ce Born And Raised.
C’est toujours très difficile pour moi de sortir quelque(s) titres de ces albums. Pourtant j’aurai tendance à attendre de lui, qu’il pense sérieusement à mettre de côté les ballades à tout va. Je préfère quand le métronome s’excite.
Cependant, comme ces albums sont chez moi essentiellement des compagnons de soirées et de lectures, j’y trouve mon intérêt.
Cet album sera en cette période un parfait compagnon de plage dans votre Ipod … En photographiant vos doigts de pieds. Pour celles et ceux qui préfèrent les jeux de raquettes, ils devront trouver un autre fond sonore.
Je sais … Ce n’est pas très clair ; mais pour les chroniques claires je vous conseille de me zapper !
Le changement de look de John (Clayton) MAYER me fait quant à lui penser à celui de Ryan CABRERA, une image moins gendre idéal avec ce petit côté Bad Boy façon Jack Sparrow, un changement de look sans incidence ni bouleversement pour la trame musicale. La voix ne se ballade pas sur plusieurs octave, mais reste dans une identité et registre proche de chanteur soul-pop-rock.
Bon nombres de guitaristes de Hard ont dans leurs jeux, des réminiscences de Rock / Blues, cela permet par exemple à Joe B. de passer aisément de son univers solo à Black Country.
En exemple défunt, le premier nom qui me vient en tête est celui de Gary MOORE.
Si il fallait retirer tout ce qui fait l’attaque du Bluesman permettant de pouvoir glisser au Hard et inversement, on arriverait facilement à définir le phrasé guitaristique de John. Un jeu plus éthéré, léger, aérien ; qu’on pourrait aussi définir sous le terme pureté.
Ce jeu toujours et tout en finesse / subtilité, ou alterne les grattes sèches. Allant jusqu’à nous pondre une intro digne d’un Marcel DADI comme sur The Edge Of Worry. Un titre ou flotte les relents d’un chant de folklore Irlandais.
Il serait beaucoup plus aisé de chercher des points communs avec Eric CLAPTON, Robbert CRAY, Robben FORD, etc. mais la facilité n’est pas le genre de la maison ; non ! Pas chez Rock Meeting ;-)
Même si ce garçon reconnait s’inspirer du grand Stevie Ray Vaughan.
Les guitaristes me comprendront, si je précise que pour définir l’esprit, la différence de jeu entre John M. et Joe B. ; on aurait tendance à chanter les solos et les chorus du second. Quant pour John c’est la mélodie que l’on fredonne.
Pour les connaisseurs de ce chanteur guitariste, je préciserai qu’on reste dans son univers soft, ou la mélodie reste fil conducteur sur chaque compo’ de l’opus. De manière éparse tout au long de l’album, l’occasion est donnée d’entendre : Des lignes de pianos, comme sur Queen Of California ; Harmonicas sur Born And Raised, et Whiskey, Whiskey, Whiskey, des rythmes ballade. Au rayon « On se frotte sur des tempos lents », John nous délivre en sus Love Is A Verb avec ses moins de 2mn30 pour conclure A Face To Call Home, slow avec ce petit plus d’énergie dans sa composition et sa batterie train rythmique du refrain & chorus à l’unisson ; en locomotive les instruments - voix. Autre originalité, de la trompette sur Walt Grace’s Submarine Test, Januray 1967. Rien d’étonnant chez ce multi-instrumentiste.
Les morceaux sont majoritairement courts, voire très courts. Surtout pour un album de guitariste ! On oscille entre 2 : 01 et 5 : 22, avec plusieurs titres avoisinant les trois minutes, on pourrait trouver cela frustrant ; mais John délivre à chaque fois l’essentiel.
Petite confidence, je préfère 10mn avec une charmante jeune fille ; qu’une heure avec sa maman à faire peur ou sa copine flétrie. Je pense que c’est pareil pour les lectrices, elle préfère choisir un week-end avec moi plutôt que de prendre mes collègues, qui ne pense qu’à écrire des chroniques !
Cinq minutes de plaisir en lieu et place de 20 de tortures et pourtant ??? … Mes chro’s !!!!
Comme je vous comprends ! Longues et décalées !
Shadow Days, Something Like Olivia collent parfaitement au précédent opus, pour celles et ceux qui l’auraient raté … Histoire de faire court, je vous suggère l’ensemble de sa discographie.
Les amateurs de grattes acoustiques, apprécieront les glissées de manches, ils pourront s’offrir quelques exercices et sources d’inspirations (exemple) : Speak For Me.
If I Ever Get Around To Living flirte sévèrement avec ce que pourrait faire un mec comme Matt Wertz, pour étoffer plus encore la palette de ce Born And Raised.
C’est toujours très difficile pour moi de sortir quelque(s) titres de ces albums. Pourtant j’aurai tendance à attendre de lui, qu’il pense sérieusement à mettre de côté les ballades à tout va. Je préfère quand le métronome s’excite.
Cependant, comme ces albums sont chez moi essentiellement des compagnons de soirées et de lectures, j’y trouve mon intérêt.
Cet album sera en cette période un parfait compagnon de plage dans votre Ipod … En photographiant vos doigts de pieds. Pour celles et ceux qui préfèrent les jeux de raquettes, ils devront trouver un autre fond sonore.
Label : | Columbia Records |
Sortie : | 2012 |
Production : | John MAYER & Don WAS |
Discographie : |
Room for Squares (2001) |
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