En effet ce nouveau projet hollywoodien a été initié par Steph « Stevens »Honde, chanteur et guitariste, qui a déjà œuvré avec Café Bertrand (ceux qui avaient fait la tournée Deep Purple 2006 2007 se souviendront, 43 dates), 2 dates (dont le stade de France ) avec AC/DC, puis Paul Di Anno dont il a été guitariste à partir de 2010 pour les concerts français (voir ici).
Plus tard il est parti vivre à L.A où il a rencontré deux « monstres » du classic hard rock, Tim Bogert (avec qui il est devenu très ami) et Vinny Appice. Ils ont accepté de participer à son nouvel album, une sacré opportunité et une belle opération médiatique qui a permis à notre frenchy d’être propulsé sur le devant de la scène internationale, un peu à la manière d’un Frédéric Slama dans l’AOR. Un bon coup médiatique est une chose, faire un bon album en est une autre, reste à vérifier qu’l ne s’agit pas d’un feu de paille, comme cela arrive parfois avec des super groupes qui se contentent d’aligner quelques grands noms sans grand résultat derrière.
Point de cela ici, on est rassuré dès l’entame avec Move On, le son est excellent, la rythmique Bogert Appice excelle, mais le plus surprenant est le chant de Steph, calé dans les graves, type bluesman black, qui donne au classic hard rock proposé une tonalité originale. La suite est de très bon niveau également avec un Big Trouble dans la même veine, la power ballade The Only Way, ou la ballade The Cage. The Ocean enchaine avec une belle intro symphonique puis des nappes de clavier, et Oh Boy! continue sur un blues de bonne facture. Dans les points forts, je retiens aussi Underground, et le mid tempo aux structures heavy Village Of The Damned.
Au final une belle entrée en matière pour ces monstres, saluée par la critique à l’international, Steph Honde a pleinement réussi son pari hollywoodien !
Plus tard il est parti vivre à L.A où il a rencontré deux « monstres » du classic hard rock, Tim Bogert (avec qui il est devenu très ami) et Vinny Appice. Ils ont accepté de participer à son nouvel album, une sacré opportunité et une belle opération médiatique qui a permis à notre frenchy d’être propulsé sur le devant de la scène internationale, un peu à la manière d’un Frédéric Slama dans l’AOR. Un bon coup médiatique est une chose, faire un bon album en est une autre, reste à vérifier qu’l ne s’agit pas d’un feu de paille, comme cela arrive parfois avec des super groupes qui se contentent d’aligner quelques grands noms sans grand résultat derrière.
Point de cela ici, on est rassuré dès l’entame avec Move On, le son est excellent, la rythmique Bogert Appice excelle, mais le plus surprenant est le chant de Steph, calé dans les graves, type bluesman black, qui donne au classic hard rock proposé une tonalité originale. La suite est de très bon niveau également avec un Big Trouble dans la même veine, la power ballade The Only Way, ou la ballade The Cage. The Ocean enchaine avec une belle intro symphonique puis des nappes de clavier, et Oh Boy! continue sur un blues de bonne facture. Dans les points forts, je retiens aussi Underground, et le mid tempo aux structures heavy Village Of The Damned.
Au final une belle entrée en matière pour ces monstres, saluée par la critique à l’international, Steph Honde a pleinement réussi son pari hollywoodien !
Label : | Mausoleum Records |
Sortie : | 23/05/2014 |
Production : | n/a |
Discographie : |
Big Trouble (2014) |
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