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HELLHAMMER Profil
 MP 26 messages Dernier: 23/07/05 | Sujet: Re: DREAM THEATER Envoyé le: 03/06/2005 21H22 | | Je l'ai encore reecoute hier soir et voila ce qu'il en ressort
Je commence VRAIMENT à apprecier cet album
Gros coup de coeur
- The Root Of All Evil - These Walls - Panic attack (Qui est enorme !) - Octavarium (Qui est excellente du debut à la fin SURTOUT les 12 dernieres minutes c'est le pied total)
Allez encore une ou deux ecoutes supplementaires et je suis rentre completement dedans
Un petit complement
Deux petites chroniques d'Octavarium sur ce site
http://perso.wanadoo.fr/musicaljam/musicaljam.htm
Lien que j'ai trouve sur le FC Francais de DT
Premiere Chronique
Nous attendions tous ce nouvel album de Dream Theater avec une très grande impatience. Depuis leur dernière escapade purement métal avec "Train of Thought", on se demandait bien ce que la bande à Portnoy allait nous servir cette fois ci encore.
Et bien... le moins que l'on puisse dire, c'est que cet album va encore déchaîner les passions. Il vous faudra plusieurs écoutes attentives pour en venir à bout et surtout, pour l'apprécier à sa juste valeur !
Petit retour en arrière…
Leur dernière tournée terminée, l'équipe du « théâtre du rêve » se concerte alors pour savoir quelle direction prendre pour ce nouvel opus.
Afin de retrouver une certaine ambiance de travail qui avait été un peu laissée de côté pour leur précédente production, ils décident donc de s'enfermer en studio (comme ils l'avaient déjà fait pour "Metropolis part II") et d'y composer ensemble un successeur digne de ce nom. La diversité des influences de chacun des musiciens va les emmener à accoucher de ce huitième album studio : "Octavarium".
Alors, pour ceux qui ne souhaiteraient pas lire la suite de cette chronique, sachez que toutes les influences majeures du groupe y sont plutôt bien représentées, ce qui me fait dire sans aucune crainte que ce disque est certainement le plus diversifié de toute la carrière de Dream Theater.
Mais essayons de rentrer un peu plus dans le détail.
Si l'on conçoit aisément que cette formation américaine a révolutionné le mouvement progressif en y apportant sa touche personnelle et technique jamais égalée à ce jour, ne vous attendez pas à trouver dans Octavarium une quelconque révolution de leur style.
Il est clair que plutôt d'innover, nos amis se sont « contentés » (et de quelle manière !) de mettre en application tout leur savoir dans la composition de morceaux techniquement et mélodiquement irréprochables, certainement pour se faire plaisir et parce qu'ils savent aussi que les véritables fans de Dream Theater sont des personnes qui prennent le temps d'écouter leurs albums et de les digérer avant de réellement les apprécier (je pense ici à l'effet étrange que m'avait laissé la première écoute de "Falling into Infinity").
Ainsi, on retrouvera tout au long de ce disque des sonorités, des combats claviers/guitares, des mélodies instrumentales de toute beauté, autant de nombreux clins d'œil qui nous font alors penser que les musiciens semblent s'être vraiment amusés à se retrouver tous ensemble pour la composition de ces 76 minutes de musique !
La seule nouveauté véritable de "Octavarium" est incontestablement l'apport d'un véritable orchestre symphonique ayant participé à quelques titres mais, il faut dire que Jordan Rudess s'est bien régalé à les diriger et cela s'entend…
Passons maintenant aux choses sérieuses et essayons de décortiquer chacun des 8 titres qui nous sont proposés :
L'entrée en matière se fait par « The Root Of All Evil ».
Telle une intro digne de la musique de « Terminator » (si si ;-)), le morceau vous accroche directement par son riff métal implacable qui annonce tout de suite que cet album ne renie en rien les origines profondes du groupe. La voix de James Labrie est, encore une fois, très travaillée. On le sent quand même bien plus à l'aise lorsqu'il retrouve les mélodies qui font la spécificité de sa voix par rapport à sa performance livrée pour un « Train of Thought » trop plate à mon goût vocalement parlant !
Ce morceau semble très « old school » et c'est bien ce qui fait sa spécificité, les minutes déroulent pour finir sur un riff de piano du plus bel effet. Mais la surprise de ce titre est de proposer, en son milieu, quelques secondes de « This Dying Soul » (album « Train of Thought »), moment clin d'œil par excellence propre à Dream Theater.
« The Answer Lies Within » est LA douceur de ce disque, du piano, une voix et des arrangements orchestraux. Un morceau à écouter les yeux fermés. J'entends déjà crier au sacrilège mais je me demande toujours pourquoi il serait interdit à Dream Theater de nous composer de tels morceaux ? C'est tellement bien fait, bien mieux que tout ce que l'on peut entendre à droite et à gauche, alors je vous demande juste un peu d'ouverture d'esprit. Et si vous n'aimez pas, et bien passez à la chanson suivante !
« This Walls » justement, et son introduction très « hardcore » (chouette, John Petrucci a récupéré sa 7 cordes !!!), laisse place à un son de synthé qui ressemble certainement le plus à ce dont nous avait habitué Derek Sherinian ainsi qu'à une basse très présente. En fait, nous voilà revenu au bon vieux temps de « Falling into Infinity », c'est pour moi le morceau qui nous rappelle le plus cette période.
La guitare se veut très lourde et infiniment grave. La fin du morceau est également en clin d'œil à « Metropolis part II » avec un battement de cœur ainsi que les aiguilles d'une horloge qui tournent pour mieux enchaîner sur le single de cet album.
En effet, « I Walk Beside You » est LE morceau qui va certainement tourner en boucle sur toutes les radios, un pur régal, sauf… qu'on a quand même bien l'impression d'entendre du U2… si la voix de James Labrie ne l'avait pas trahie, j'en aurais juré… dans tous les cas, un morceau court, entraînant et qui plaira au plus grand nombre à n'en pas douter, c'était peut être le but car les choses vraiment sérieuse commencent avec le prochain titre.
« Panic Attack » et sa formidable intro de basse ravageuse (on vous l'avait dit, John Myung est revenu !!!), un morceau résolument métal où l'on retrouve certains "chœurs clavier" propres à Jordan Rudess nous faisant encore penser à certains moments de « Metropolis part II ». Les riffs de guitares s'enchaînent et ne s'arrêtent plus, lourds, très lourds… c'est alors sans surprise, tellement Mike Portnoy a adoré leur dernier album et en a parlé comme une réelle influence, qu'avant la grande furie instrumentale, on retrouve un chant plutôt orienté « Muse » (cela s'amplifiera un peu plus loin). Puis nous avons droit à un pur carnage signé Rudess/Petrucci/Portnoy totalement déchaînés, digne des plus grands moments de la discographie de Dream Theater, mais c'est loin d'être terminé !
Comme annoncé, « Never Enough » est un pur titre de « Muse » adapté à la sauce Dream Theater… On va pouvoir découvrir un son de clavier complètement inhabituel à Jordan Rudess tout au long du morceau limite « technoïde » mais tellement bien ressenti. Et puis, c'est le grand retour du combat Guitare/Clavier sur les solos, de toute beauté. Le titre déroule avec une force incroyable et ça fonctionne, on y croit, on se laisse totalement emporter. Je me suis alors surpris à laisser échapper un sourire de contentement à la fin du morceau, c'était trop bon… mais ce n'est pas encore fini ! Il nous reste encore les deux pièces maîtresses de cet Opus.
Et on commence tout de suite avec « Sacrifies sons » et son introduction tout en sample (encore un clin d'œil ;-)).
Deux parties partagent les 10'43 du morceau. La première, tout en finesse avec un piano très présent, de nombreux arrangements orchestraux, on sent bien que ce titre n'attend plus qu'une petite étincelle pour s'enflammer. C'est ce qui arrive avec la basse qui renverse la tendance et met le feu aux poudres. Et là, on s'envole enfin pour du grand Dream Theater tel que les fans l'aiment, des solos dans tous les sens, du clavier (décidément très présent sur cet album), du piano, des questions-réponses avec la guitare. On en prend pleins les oreilles, la technique et la mélodie étant toujours au rendez vous, on ose comparer cette partie du morceau aux plus beaux titres de « Metropolis part II ».
Un très bon titre qui demande un peu de patience mai qui en vaut largement la peine, pour ma part, le meilleur de cet opus !
On arrive donc maintenant au morceau de bravoure et ses 24 minutes au compteur. Encore une fois Dream Theater ne mélange pas les cartes de la même manière et n'obtient donc pas un « Change of Season » bis ou un « 6° Degrees of Inner Turbulence » bis mais nous laisse entrevoir « Octavarium ».
Difficile de résumer en quelques lignes ce titre. Certainement la pièce la plus « progressive » dans le sens « années 70 » du terme.
Après une longue introduction hommage à Pink Floyd, c'est vers Genesis qu'il faut se tourner ensuite.
Gros fan du groupe anglais, je me suis laissé envoûter par le thème développé ici, me rappelant les meilleurs moments (surtout au niveau de la guitare, quasiment le même son que Steve Hackett) des tous premiers albums de cette formation culte.
Un voyage dans le temps très inspiré !
Il faut malgré tout attendre la 12 ème minute pour que la sauce monte enfin et là, c'est l'extase. Même Jordan nous retrouve les bon vieux sons à l'ancienne et quel solo de clavier, j'en frissonne encore.
Puis, on se met à penser que l'esprit de « Transatlantic » n'est pas très loin ou a laissé des traces… on ne s'en plaindra pas d'ailleurs. Après un déluge de solos tous plus techniques et mélodiques les uns que les autres (le fabuleux récent album solo de John Petrucci n'y est certainement pas étranger), on arrive alors au grand final symphonique magnifiquement orchestré et grandiose… Je n'ai pas vu les minutes passer, du grand art…
Il est assez difficile de se remettre d'un album tel que celui-ci, aussi riche et varié, il faudra donc de longues heures d'écoute à chacun avant de véritablement pouvoir s'en faire une idée définitive.
Pour ma part, je le trouve merveilleux, un juste retour aux sources qui ont créée Dream Theater. Je continue à saluer le courage de ces musiciens d'exception qui n'ont pas de préjugés et qui nous comblent de bonheur à chacun de leur nouvel album. Longue vie à ce groupe et à la prochaine…certainement sur la tournée européenne quelque part en France.
Jeff
Seconde Chronique
Pour contiuer le débat sur ce nouvel album de Dream Theater, voici la chronique de Christophe !
A chaque nouvel album, c'est (pratiquement) la même chose.
En effet, le gang américain s'est définitivement mis dans le crâne de devoir (à raison) surprendre son auditoire tout en conservant les nombreux ingrédients faisant son originalité. Passant allègrement du concept alambiqué (« Scenes From A Memory ») au monochrome métallisé (« Train Of Thought »), sans oublier de défricher son propre territoire (le sublime, inventif et foisonnant « Six Degrees Of Inner Turbulence »), nos cinq compères maintiennent malgré tout un cap ultra technique qui leur vaut toujours de nombreux reproches, surtout depuis l'arrivée du virtuose Jordan Rudess début 1999.
Après le parfois difficilement supportable « Train Of Thought » sus-mentionné (essentiellement en raison d'un indigeste déballage, pourtant irrésistible… à petites doses, venant alourdir des morceaux qui ne demandaient pas tant), il était pratiquement évident que le groupe ne pouvait qu'en prendre le contre-pied. « Octavarium », huitième œuvre bien-nommée, propose donc un séduisant panel des capacités du quintet, bien plus varié que ses prédécesseurs. Il ne s'agit pour autant pas d'un album « catalogue » mais bel et bien d'une nouvelle étape en dépit du désormais endémique refus presque prétentieux à accueillir toute personne extérieure au processus de création (un producteur, par exemple…).
« The Root Of All Evil », assez « classique », laisse cependant planer le doute. Dernier volet d'un triptyque débuté avec « The Glass Prison », ce morceau est absolument imparable ! Superbe intro, refrain génial et clin d'œil à la deuxième section (la digression sur le thème de « This Dying Soul ») : l'excellence !
La construction assez particulière de l'album se révèle alors puisque s'ensuivent trois titres très accessibles, en tout cas, extrêmement mélodiques. Hum, on touche là à un sujet sensible !
Mon opinion, sur les possibilités du groupe dans ce domaine a toujours été assez flou, même si ce type de titres apporte un équilibre bienvenu. D'un côté, des mièvreries infâmes : « Take Away My Pain », « Through Her Eyes », de l'autre des merveilles sucrées : « Innocence Faded », « You Not Me » (Vous vous demandiez si quelqu'un aimait ce titre ? Eh bien oui, c'est moi !).
Nous avons donc ici une représentation très explicite de ces sentiments : « The Answer Lies Within », sans aucun intérêt, tout juste sauvé du naufrage par un arrangement de cordes beaucoup plus agréable qu'une larmoyante synthèse analogique Michael Boltonienne, et « I Walk Beside You », petit frère bien supérieur à « Speak To Me », magnifiquement arrangé et plein de grâce.
Toujours sous le signe du cycle de trois (« The Root Of All Evil » - troisième volet, trois titres plus accessibles, trois titres plus novateurs), s'ensuit le noyau dur d' « Octavarium ».
N'y allons pas par quatre chemin : « Panic Attack » est déjà un classique (avec ce petit passage Muse…), énorme, « Never Enough » (carrément Muse, si, si… cette influence tant anticipée et discutée depuis des mois est bien, en ces rares occasions, présente) possède de nombreux atouts, une intro renversante, un couplet tendu et expérimental digne de « Six Degrees » avant un arpège pianistique très… qui vous savez ! Les nouveautés sont là, bien loin des comparaisons hâtives avec tel ou tel album passé.
Enfin, « Sacrificed Sons », avec sa longue première section très surprenante (samples et mélodies) avant de se conclure en véritable « Epic » (somptueux arrangements de cordes).
A ce stade, nous sommes au bord du précipice ! Tout peut basculer, puisqu'il ne reste plus que le très attendu « Octavarium », le morceau éponyme, nous toisant du haut de ses 24 minutes !
Ce sera donc le meilleur album de Dream Theater… ou un très bon album, un poil décevant !
Chacun se fera son opinion mais la mienne semble établie… c'est bien la deuxième solution qui l'emporte.
Bien loin d'un « A Change Of Seasons» qui donnait le tournis (quelle inventivité !), cette pièce ne semble aller nul part, n'évitant parfois même pas certains clichés du genre (clavier et progression à l'ancienne, plage jazzy efficace mais incongrue). Malgré une prometteuse introduction Pink Floydienne (guitare/synthé), quelques réelles trouvailles sonores ou stylistiques (merci Mr. Myung) et un final, avec orchestre, très réussi, l'absence de mélodies fortes (la quintessence de la musique, non ?) engendre un ennui poli et surprenant.
L'occasion de noter qu'un des éléments passé qui n'est ici pratiquement pas représenté est bien la touche sensible que fut capable d'apporter John Petrucci dans des pièces du calibre de « Hell's Kitchen » ou « Lines In The Sand » (Quels soli ! D'ailleurs extraits d'un seul et même album pourtant assez décrié… « Falling Into Infinity »…
Il va falloir réévaluer certaines choses…), problème déjà pointé sur son récent et pénible « Suspended Animation » solo.
Si peu de choses… mais d'une telle importance !
Christophe | "Au nom de la biere, Du metal et de la sainte alcoolémie Amen " |
| glazwolf Profil
 MP 278 messages Dernier: 28/08/08 | Sujet: Re:DREAM THEATER Envoyé le: 04/06/2005 11H09 | | En réponse au message "DREAM THEATER" posté par tinche le 29/05/2005 20H43:
Difficile de se faire une idée avec des extraits de 1 minutes mais je crois que je vais avoir beaucoup de mal avec ce nouvel album de Dream Theater comme les 2 precedents d'ailleurs.. J'aime pourtant les groupes qui vont de l'avant mais là j'ai l'impression d'entendre des musiciens ô combien talentueux qui peu a peu perdent leurs propres idendités pour mieux copier des groupes plus modernes ou une mouvance actuelle.. On dirait des albums predefinis a l'avance, tel album doit être heavy, tel album doit être plus prog alors que dans le passé c'etait justement le fait que Dream partait dans tous les sens qui faisait son charme, sa richesse.. Où est donc passé l'idendité propre de Dream, cette folie, ce son, cette originalitée de ce groupe qui a revolutionné le genre dans les années 90..
 | "Hold on to your dreams" |
| jack17 Profil
 MP 2361 messages Dernier: 04/05/09 | Sujet: Re:DREAM THEATER Envoyé le: 04/06/2005 14H19 | | Citation de glazwolf:
On dirait des albums predefinis a l'avance, tel album doit être heavy, tel album doit être plus prog alors que dans le passé c'etait justement le fait que Dream partait dans tous les sens qui faisait son charme, sa richesse.. Où est donc passé l'idendité propre de Dream, cette folie, ce son, cette originalitée de ce groupe qui a revolutionné le genre dans les années 90..
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C'est propre a tous les groupes & artistes qui on eu un gros succés & de grosses ventes a un moment! La spontanéité des enregistrements des débuts laisse place peut-être a trop de "calcul" en studio | |
| Kakou Profil
 MP 2391 messages Dernier: 01/06/09 | Sujet: Re:DREAM THEATER Envoyé le: 05/06/2005 02H56 | | Mon Hellhammer,tu sais que je t'aime,mais les chroniques a rallonge,je ne supporte pas Bon,j'ai toujours suivi Dream Theater,alors je risque de replongé alors que l'album d'avant "Train of je sais plus quoi" m'avait hyper déçu.Je rejoue encore une fois mais si je reperd,je ne jourais plus  | "Samedi prochain au village, c'est la foire des veaux et des porcs: venez nombreux!" |
| B2B Profil
 MP 1000 messages Dernier: 03/12/05 | Sujet: Re:DREAM THEATER Envoyé le: 05/06/2005 18H10 | | Citation de Kakou:
| l'album d'avant "Train of je sais plus quoi" m'avait hyper déçu. |
Ah bon ?!...Moi, je l'aime bien cet album. Je ne sais pas ce que vous lui reprochez. Trop "hard" ? | "Bruno !" |
| jack17 Profil
 MP 2361 messages Dernier: 04/05/09 | Sujet: Re:DREAM THEATER Envoyé le: 05/06/2005 19H57 | | Citation de B2B:
| Je ne sais pas ce que vous lui reprochez. Trop "hard" ? |
non il est pas plus hard que "Awake" par exemple mais ce dernier a de meilleures compos + interressantes et qualité d'album ! enfin c'est ce que je trouve  | |
| B2B Profil
 MP 1000 messages Dernier: 03/12/05 | Sujet: Re:DREAM THEATER Envoyé le: 05/06/2005 20H14 | | En réponse au message "Re:DREAM THEATER" posté par jack17 le 05/06/2005 19H57:
Justement, j'adore "Awake"... | "Bruno !" |
| HELLHAMMER Profil
 MP 26 messages Dernier: 23/07/05 | Sujet: Re:DREAM THEATER Envoyé le: 05/06/2005 22H53 | | Citation de Kakou:
Mon Hellhammer,tu sais que je t'aime,mais les chroniques a rallonge,je ne supporte pas Bon,j'ai toujours suivi Dream Theater,alors je risque de replongé alors que l'album d'avant "Train of je sais plus quoi" m'avait hyper déçu.Je rejoue encore une fois mais si je reperd,je ne jourais plus  |
C'est pas moi qui est chronique ca , j'aurais fait beaucoup plus court si je l'avais chronique  | "Au nom de la biere, Du metal et de la sainte alcoolémie Amen " |
| cyril Profil
 MP 2151 messages Dernier: 13/04/09 | Sujet: Re: DREAM THEATER Envoyé le: 06/06/2005 17H17 | | Damned... Il suffit que mon FAI déconne pendant 3 semaines pour que DT en profite pour faire du Muse... Je savais même pas que l'album était sorti (je suis obligé de truander au boulot pour aller sur le net! ) | "http://www.coucoucircus.org/da/generique.php?id=581" |
| HELLHAMMER Profil
 MP 26 messages Dernier: 23/07/05 | Sujet: Re: DREAM THEATER Envoyé le: 06/06/2005 19H57 | | Il sort demain  | "Au nom de la biere, Du metal et de la sainte alcoolémie Amen " |
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