c'est vrai que cet album est plus que décevant ! on aurait peut être crié au génie pour un tout nouveau groupe, mais là ça frise le peloton d'exécution
évidemment avant de remplacer Steve Perry , il y a du boulot , mais c'est album me fait même regretter Steve Augeri !
Pour ceux qui ne savait pas, Andrew de melodic rock est salarié de chez Frontiers et recoit chaque fin de mois un petit chèque confortable pour ces critiques "impartiales" des albums de Frontiers, qui sont toujours bien noté, vous l'aurez remarqué.
Quand le patron lui demande de pousser un album , on se retrouve avec une note de 100 incompréhensible pour ceux qui ne connaissent pas les dessous de tables, pourtant très officiel, de notre ami Australien !
je comprends que tu sois amer après la critique injustifiée sur la qualité de la prod de ton dernier opus si je me souviens bien.
Ceci dit, pour aller sur MR quasiment tous les jours, (sauf en ce moment Andrews a passé la semaine à l'hosto), je nuancerais le propos !
D'abord un chroniqueur se doit de garder une objectivité sans quoi il n'est pas crédible, et Andrews est capable de mettre un 50/100 sur le dernier Benedictum de chez Frontiers, donc il garde quand même sa liberté, malgré le chèque.
Après la critique d'un chroniqueur dépend forcément de son profil et de ses gouts, qui fait que pour n'importe quel album, il y a des pour et des contre.
En l'occurrence je suis souvent assez d'accord avec Andrews qui ne se limite pas à l'AOR pur mais aime aussi le metal prog et heavy, donc profils proches, et du coup même perception de l'album.
Dans sa chronique, il a bien ciblé les caractéristiques de cet album : omniprésence des guitares :
"This is a true guitar record. This is a guitarist's record. I haven't heard such inspired riffing, soloing and shredding one track after another on a melodic rock record since�well, maybe ever. The solos just keep coming and not content with just one, some songs have several going on at once. It really is guitar overdrive, but never once do I feel that it is at the detriment to the song, the melody or the expectations of what Journey is all about. Not for me at least."
Et puis il y a l'aspect gros riffs, presque heavy, qui va faire fuir les westcoasters puristes sur certains titres, par exemple, Chain Of Love qui a ce coté heavy tout en restant mélodique, moi j'adore et partage entièrement le descriptif d'Andrews :
Chain Of Love gives the air of a slower number with a haunting piano/vocal intro before this dirty great big riff bursts into action. From there the guys throw out the Journey rulebook. The song relays a dark and heavy tone that throws you at first, but gets better and better after each play. The riff is brutal � the heaviest I have heard on any Journey record and Arnel soars above it with a powerhouse vocal that delivers melody and a subtle chorus hook that will have some fans running for their copy of Raised On Radio to calm their racing hearts. Me, I'm soaking this up and waiting for the next kicker. This is rock n roll dynamite.