Ces Frenchies en sont à leur 3eme opus, je viens decouvrir via cette video, je les ai ajoutés dans
le sondage meilleur opus français 2011 :
ETERNAL FLIGHT-THE TOWER.La bio :
Eternal Flight, originaire de Haute Savoie pratique un Power Metal Progressif et varié de puis 2001. Si vous aimez des riffs puissants, des arrangements épiques et progressifs mixés à une voix riche, avec de l’âme pouvant passer du grave à l’aigu avec facilité, des guitares déployant un jeu habile et executé avec feeling, une section rythmique efficace, technique et des synthés discrets, intelligemment utilisés et sachant servir la musique, ce groupe est pour vous ! 2002 : 1re démo qui lui permet de se faire connaitre et de trouver un label 2004 : 1er album distribué dans le monde entier via un label italien Cruz Del Sur Music. 2007 : 2ème album encore une fois distribué dans le monde entier par Pervade et Nightmare records. A chaque fois, Eternal Flight gagne de nouveaux fans, collectionne les chroniques vantant les qualités du groupe et se produit régulièrement avec des groupes français et internationaux ! 2011 : 3ème album « Diminished Reality, Elegies and Mysteries” (D.r.e.a.m.s). Conscient de l’importance que représente l’étape du 3ème album, EF prends le temps de soigner sa nouvelle offrande afin de proposer un album spécial et détonnant ! Composés et produits par Gérard Fois, fondateur du groupe en 2001 (après le split de Dream Child groupe pour lequel il avait enregistré 2 albums dont le dernier paru chez Metal Blade !), les titres sont sûrement les plus efficaces et créatifs proposés jusqu’alors. D’un côté des titres assez courts, tranchants et mélodiques : « Release the unreal », « Freedom is my race », « The Tower ». De l’autre, de belles envolées lyriques, épiques et progressives, qui montrent les nombreuses facettes et richesses du groupe : Lourd et majestueux à la Heaven and Hell (« Fantasea »), tumultueux et fastueux tel des Nevermore et Opeth croisant le fer avec Judas Priest (« Nightmare King »), Intimiste et acoustique (« Black Sun ») explorateur et un brin oriental à la Tool (The meeting), symphonique et tragique (« Goodbye »). Tous ces ingrédients sont nécessaires pour servir le concept de l’album basé sur l’intervention, l’interaction du Morphoenix (aussi la mascotte du groupe) dans les rêves de diverses personnes. Pour rendre cet album « Dimished Reality, Elegies and Mysteries (« D.r.e.a.m.s » pour les intimes !) encore plus spécial, des invités de marque acceptent avec enthousiasme à prendre part à l’œuvre. C’est d’abord le batteur brésilien, Ricardo Confessori (Angra, Shaman) qui après écoute des démos décide de participer à l’aventure en jouant sur (presque) tout l’album et en marquant de son style la rythmique. Pour certains solos il est fait appel à des guitaristes de classe internationale que sont Mark Mc Gee (ex Vicious Rumors), Chris Caffery (Tran-Siberian Orchestra, Savatage) des USA et Rob Love Magnusson (Dynazty) de Suède, moins connu mais tout aussi redoutable ! Ceux-ci complètent avec brio le travail déjà remarquable de Julien Bouvier un des nouveaux guitaristes. En parlant de line-up celui-ci inclus désormais Julien Racine (batterie), Adrien Zoni (basse) et Chris Gojon (guitares) qui s’illustrent pour leur part sur l’intro et la reprise-hommage au grand Ronnie James Dio, « Night People ». Avec « D.r.e.a.m.s », disponible le 4 novembre 2011, Eternal Flight s’envole vers une véritable reconnaissance internationale.