TIMELESS FAIRYTALE - A Story To Tale
  La suite logique de Clown In The Mirror de ROYAL HUNT. Henrik Brockmann est au top au chant !


SUNBURST - Manifesto
  Entre KAMELOT et CONCEPTION, avec Vasilis Georgiou en parfait clone de Roy Khan, au point où c'en est troublant !


VIRGIN STEELE - The House Of Atreus Part I
  (copié-collé de mon commentaire sur NIME) VIRGIN STEELE est considéré en général comme un groupe second couteau et pourtant ce disque atteste d'un savoir-faire et talent indéniables qui aurait dû le propulser parmi les grands du genre Heavy Metal. Au mieux ont-ils acquis un succès d'estime. Cette odyssée est palpitante ! Les chansons sont mordantes, mélodieuses et entêtantes ; quant aux interludes, ils ne me gênent guère, relativement courts et convenablement imbriqués dans l'ensemble, contrairement au ressenti désagréable que j'ai d'ordinaire pour la chose. Je pense que The House Of Atreus Part I est destiné aux amoureux de Heavy Metal épique. Un joyau des années 90 !


BLIND GUARDIAN - A Twist In The Myth
  Lorsque j'écoute l'album "A Twist In The Myth", j'ai parfois l'impression d'entendre l'un des disques d'ICED EARTH ère Tim Owens. Les cavalcades "tagada" en moins. À d'autres, je suis agréablement surpris par l'orientation celtique empruntée par BLIND GUARDIAN. Sur cet opus, la production claire ne me gêne pas autant que sur "A Night At The Opera", par exemple, car je constate que l'ensemble des éléments respire, sonne distinctement. Une belle surprise que cet album ! Je le recommande chaudement !

je ne connais pas le dernier. je commence  a l 'écouter en stream.
pour les avoirs vu en live, ca vaut vraiment le coup.

qqs écoutes divers et variées .

AUDREY HORNE ; waiting for the night
 BLANC FACES ; falling from the moon
     RIOT : army of one

Ils passent au Motocultor 2024, d'où mon soudain (ré)intérêt pour eux

BLIND GUARDIAN - Somewhere Far Beyond


BLIND GUARDIAN - Imaginations From the Other Side


BLIND GUARDIAN - Nightfall in Middle-Earth


BLIND GUARDIAN - The God Machine


BLIND GUARDIAN - Somewhere Far Beyond Revisited

  Je n'ai posté que ceux que j'ai écoutés assidûment cette semaine. J'ai racheté tous les disques de BG que j'ai revendus il y a de cela quelques années. Clairement, à l'époque, une belle connerie Je n'apprécie guère leur discographie des années 2000 orientée Symphonique. Le son étant trop lisse.

Mon live-report, pour ce que ça vaut, n'étant pas un grand adepte des concerts ^.^
  https://hardloudndeep-blogzine.blogspot.com/2024/09/sonata-arctica-motocultor-edition-2024.html

Handicap auditif (acouphènes), au delà il y a aussi le fait de m'y rendre seul. Hormis quelques festivaliers ou vendeurs à qui j'ai adressés la parole, dans l'ensemble j'admets qu'en y allant seul, je ne ressens pas le besoin d'y rester trois plombes.

Je compte y retourner l'année prochaine pour BLIND GUARDIAN, au minima.

Je partage ici ce que j'ai posté sur le forum Hard N' Heavy 80. Il ne s'agit que de mon avis :

Je ne me fie qu'à mon expérience de carhaisien de naissance (et de local) : la manière dont est agencé le site est... particulière. J'ai l'habitude de passer régulièrement à Kerampuil (se prononce "kerampule") dans l'année et j'ai donc trouvé curieux que l'entrée festivaliers (différente de l'entrée VIP) se fasse au fin fond de l'IME. La signalétique m'a semblé peu claire, limpide.

Sur place, ba, rien d'incroyable. Un festoche comme les autres, avec les couacs qui surviennent de temps à autre. Il est vrai que, par certains aspects, ce festival fait un peu "amateur". Comme une impression que l'ensemble a été monté un peu à l'arrache par endroits (pensée aux résidents autour du site : deux festoches à se suivre, ouch !) ^.^' A titre de comparaison, les Vieilles Charrues, malgré le bordel que ça occasionne chaque année, sont bien plus professionnels et huilés. Pour une seconde édition à Carhaix, je pense qu'on peut leur pardonner ces quelques erreurs ici et là.

J'ai la chance d'habiter à proximité de la commune, donc il m'est facile de réaliser des aller-retour. Et clairement, c'est un confort non-négligeable. Par contre, j'avais de la peine pour les campeurs. Punaise, ça fait plus "camp prison" que véritable camping. J'ai eu effectivement l'impression de stricte minimum en terme de sanitaires (j'inclus les poubelles)... Quant à la sécurité, ba ce ne m'a pas paru fifou, bien que je tire mon chapeau aux bénévoles et services de sécurité car ils étalent un travail de dingue avec professionnalisme.

Enfin, j'ai assisté aux pépés finlandais de SONATA ARCTICA. Hormis Tony Kakko qui sautille à droite à gauche, harangue la foule, ses comparses s'en tiennent souvent au strict minimum. Le premier acte était S-O-P-O-R-I-F-I-Q-U-E à l'exception de la chanson First In Line. Le second acte, ils interprétaient leurs classiques et là, j'ai lâché à voix haute "ah ba enfin, il était temps !" ^.^ Très courte prestation de leur part mais je me sentais le besoin d'être présent à l'évènement. Ensuite, ba, j'ai flâné une petite heure autour des bacs à disques (j'ai craqué pour le CELTIC FROST Vanity Nemesis ; JUDAS PRIEST Killing Machine (un rachat) ; MESSALINE In Cauda Venenum) et je suis rentré. J'avais l'intention de revenir vers 1h du matin pour AVANTASIA et finalement je me suis ravisé. Ce n'était clairement pas ma priorité et je reste déçu des dernières prestations de Tobias Sammet. Et j'ajoute que j'ai un handicap auditif. Il m'est difficile de rester trop longtemps dans le bruit.

Aventure sympatoche. A renouveler... ou pas.

ouch en cherchant des renseignements pour  passer ta news côté site, je suis tombé sur cette chro pas flatteuse : https://rockposer.com/2024/06/10/review-steve-plunkett-straight-up/

La réalité rattrape simplement ce chroniqueur : Steve Plunkett est un pur produit des années 80 (voire 70). Ce qui signifie que, effectivement, les paroles ne volent pas haut. Rien que la réécoute des disques d'AUTOGRAPH en atteste... Encore faut-il ne pas faire preuve de mauvaise foi. Par exemple, si je me concentre sur les paroles de Blondes In Black Cars, le refrain, à l'époque, ne cassait pas trois pattes à un canard : "des blondes dans des voitures noires, grillant le boulevard (...)". A ce sujet, Jim Peterik régresse aussi en terme de paroles. Pourtant, personne ne lui jette la pierre. Sans doute car il est plus productif, donc moins perceptible... ?

Ce nouvel album de Steve Plunkett est, à mon avis, une petite aventure de Cleopatra Records, label bien connu pour jouer les Dr Frankenstein. Je possède le disque en format CD et, honnêtement, c'est le strict minimum : le CD, basta ! Pas de crédits, de livret, rien, nada !

A l'heure de l'IA (j'ignorais qu'une intelligence se pouvait "artificielle" - l'expression me fait rire ), il est de bon ton de lancer des rumeurs infondées sur la production d'un album de musique. La musique électronique n'a pas attendu l'avènement d'une technologie baptisée IA. Exemple ? DEF LEPPARD et leur batterie électronique ! Autre exemple ? Les synthétiseurs !

La sonorité de l'opus Straight Up est claire, très claire. Je décris l'ensemble comme un mélange de Rock, de Hard Rock, de Pop Rock, voire un zeste Heartland Rock (bloubi-boulga de Blues, Country, Rock(abilly), Folk). Parfois j'ai pensé aux BEATLES (les guitares très Helter Skelter), à d'autres instants à son premier album solo My Attitude ou au disque Buzz (2003) d'AUTOGRAPH 2.03. Je devrais peut-être récouter SILVER CONDOR pour noter de possibles accointances...

Clairement pas l'album du siècle, clairement pas non-plus l'album de la honte ou de la purge. Disque honnête, sans prétention.

PS : Denis, attends que je produise une chronique. Inutile de poster ce pavé en guise de chronique.