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Petites Annonces / VDS Pédale de distortion guitare BOSS : DS-1
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A.L.F. : un thriller engagé contre la vivisection
Par Nathalie Hayter Publié le 06/11/2012 à 16H46 , mis à jour le 06/11/2012 à 18H45
Pour la première fois, un long-métrage, et non un documentaire, raconte une « action de libération » d’un groupe de militants du front de Libération des Animaux. Un thriller engagé mais passionnant, qui lève un coin du voile sur l’horreur de la vivisection. Sortie ce mercredi dans une quarantaine de salles françaises.
Drame français de Jérôme Lescure - avec Alexandre Laigner, Alice Pehlivanyan, Jean-Pierre Loustau, Stéphane Rouabah. - durée : 1h36 - Sortie le mercredi 7 novembre 2012.
Où était Franck Kovick dans la nuit du 24 au 25 décembre ? Ainsi démarre « A.L.F », dans l’ambiance glauque d’un commissariat de quartier. Le flic n’est pas commode, le présumé coupable, lui, est un professeur de théâtre, mais aussi militant actif de la cause animale. Le film va ensuite se dérouler sous forme de flashes back, entraînant le spectateur, parfois malgré lui, dans toute la préparation de ce « casse » pas comme les autres, autrement dit la libération clandestine d’une trentaine de chiens destinés à la vivisection. Une opération très minutieusement préparée, par toute une équipe d’hommes et de femmes, militants certes, mais pas franchement fous, une opération qui comporte de véritables risques, car avec l’industrie des labos, on ne plaisante pas.
L’ALF a toujours été décrite de façon négative, qualifiée de radicale, et dont les militants seraient de doux, ou violents, illuminés. Ce film rétablit une certaine vérité en montrant des hommes et des femmes de tous âges et de tous milieux sociaux, et qui militent pour une cause, finalement comme une autre. La fiction permet bien évidemment de mettre un visage sur ces gens, et le scénario, écrit comme un thriller, et plutôt bien ficelé, emmène le spectateur dans une véritable aventure. Aucun voyeurisme, quelques images chocs, le plus souvent subliminales, qui traversent l’esprit du spectateur aussi vite que celui du héros, mais qui laisseront, peut-être, leur empreinte.
Il faut enfin préciser que toute l’équipe du film, des techniciens aux comédiens, a accepté de travailler sans rémunération, celle-ci étant remise à plus tard en fonction des bénéfices éventuels.
"A.L.F." : un ciné-tract pour la cause animale
Le Monde.fr | 06.11.2012 à 13h03 • Mis à jour le 06.11.2012 à 15h53
Par Thomas Sotinel
Cette fois, l'acronyme ne se développe pas en Alien Life Form, comme dans "ALF", la série américaine, mais en Animal Liberation Front, comme dans ces opérations commando qui libèrent des animaux destinés à l'expérimentation. Pas d'extra-terrestre velu donc, mais des bêtes de tous poils soumises à des tortures terrifiantes.
Le film est entrecoupé d'images au statut incertain, filmées dans des laboratoires – singes au crâne percé d'électrodes, chiens délibérément asphyxiés. Il n'est pas question de douter de l'authenticité de ces brèves séquences documentaires, simplement de remarquer qu'elles sont extraites de tout contexte.
On aurait pu y ajouter les rats blancs cancéreux du professeur Séralini, nourris aux OGM, mais très vite on comprend que le réalisateur et scénariste n'est pas ici pour poser des questions. Il préfère répondre à celle qu'énonce l'un des personnages de cette fiction propagandiste : "Que faisiez-vous pendant l'holocauste des animaux ?".
Jérôme Lescure faisait un film, l'histoire découpée en tranches dispersées dans le temps de l'incursion d'un groupe de militants dans un laboratoire afin d'en extraire des chiens promis à la vivisection. Puisque le dirigeant de ce petit groupe est interrogé par un policier compréhensif, on comprend que l'affaire a mal tourné.
Un bref moment, on se demande si ce militant, Franck (Alexandre Laigner), va se laisser aller au doute. Il faut bientôt se rendre à l'évidence, Franck est un martyr, prêt à sacrifier sa liberté à la juste cause. Il n'aurait pas fallu beaucoup plus qu'un court-métrage pour énoncer cette thèse, qui relève de l'évidence pour ses tenants.
Mais Jérôme Lescure a voulu lui donner la forme d'un long-métrage dramatique. Le scénario multiplie les personnages : une journaliste affligée d'un amant déçu et jaloux, une actrice qui découvre la futilité de son art en le comparant à la grandeur de la cause des animaux, un garçon qui préfère consacrer la nuit de Noël à la libération des chiens plutôt que de rester au chevet de sa mère agonisante.
Ces intrigues secondaires parasitent le propos principal, d'autant qu'elles sont maladroitement dialoguées et jouées, même si l'on voit apparaître de temps en temps quelques comédiens chevronnés (Philippe Laudenbach, Didier Sandre). Cette faiblesse est aggravée par l'absence du morceau de bravoure attendu – la libération des chiens – sans doute impossible à réaliser faute de moyens.
La candeur un peu stridente de ce film en limite l'intérêt, tout en en garantissant la sincérité. A.L.F. est pourtant voué à l'échec, tant sa maladresse lui interdit d'attirer l'attention des indifférents. Au mieux, Jérôme Lescure aura réussi à conforter la foi des convertis.
Merci à tous pour cette avant première : une salle remplie, un public nous acclamant chaleureusement, ça fait quelque chose d'avoir enfin l'avis des premières personnes à le voir au cinéma
(today, we had our first public preview in France :) we're very happy : don't worry if you live outside of France, in a month, we'll already have more information about the movie's release everywhere in the world)
Préparer l'équipe
Projection du film Earthlings, de Shaun Monson
Lors de la préparation du tournage d'A.L.F., Jérôme Lescure a eu l'idée de projeter le film Earthlings aux comédiens, pour leur faire comprendre les motivations animant les personnages qu'ils allaient interpréter.
Les techniciens du film, quant à eux, on été invités à cette projection pour voir l'aventure humaine que représentait ce film, au delà d'un simple tournage.
Dans les faits, certains ont même vécu un revirement suite à cette projection, d'autres suite au tournage d'A.L.F.
Nous vous proposons de visionner le résumé de cette projection, filmée par Jérémy Strohm, avec les interviews de certains membres de l'équipe, interviewées par René-Marc Bini, le compositeur de la B.O du film :
http://www.alf-lefilm.com/projection-d-earthlings-ins118.html