Depuis leurs débuts, l’essence même du groupe ne fût autre que la préservation d’une certaine authenticité et sincérité, s’assurant alors que la réflexion de chaque chanson de The Faim corresponde parfaitement à tous ses membres. Durant l’été 2016, le groupe attire l’attention du producteur John Feldmann : la machine se lance subitement. Le groupe compose une trentaine d’ébauches de morceaux qu’ils emmènent en studio à Los Angeles où ils donneront vie à leur premier album « State Of Mind ». Composant deux chansons par jour, The Faim repousse les limites de la production et fait appel à de nombreux co-auteurs de renommées internationales comme Pete Wentz (Fall Out Boy), Mark Hoppus (Blink 182), Josh Dun (Twenty One Pilots) ou encore Ashton Irwin (5 Seconds Of Summer).

« Avant de partir en studio, notre but était de trouver notre son », dit Stephen. « C’était une grossière erreur. Mais une fois là-bas nous avons réellement commencé le travail. Nous n’avions jamais autant composé et nous avons pu beaucoup apprendre des fantastiques co-auteurs avec qui nous avons pu travailler. Chaque jour nous découvrions de nouvelles facettes de nos talents de composition. Nous souhaitions alors exploiter ces nouvelles aptitudes pour nous exprimer à travers la musique. » Josh Ravenassure le chant, Sam Tye la guitare, Stephen Beerkens la basse et clavier, Linden Marissen la batterie.

Le set s'ouvre avec Tongue Tied, et on comprend vite que les australiens n'auront aucun mal pour maintenir la pression, leurs titres sont festifs, avec quelques variations de tempo, et dans les phases de tempo soutenu, les premiers rangs sautent et soutiennent le rythme ! Quelques titres aux refrains vraiment acrocheurs, comme Midland Line, et le concert s'achève déjà sur State Of Mind, le titre de l'album, sous les aclamations du public !
Excellente soirée, merci à Regarts pour cette programmation énergétique !