Voila un groupe qui a lui seul représente toute la diversité de RockMeeting, ce grand point de rencontre allant de la pop au métal.
Ce combo nous vient de Pennsylvanie, il est dirigé par sa chanteuse charismatique Lzzy Hale, et a fait sensation dès 2009 avec son premier album qui jetait les bases de ce joyeux mélange. Après trois ans le groupe est de retour avec ce deuxième album. Strange Case est un titre en référence au grand classique de Robert Louis Stevenson The Strange Case of Dr. Jekyll and Mr. Hyde, et c’est une référence tout à fait applicable à cet album. Les douze titres de l’opus nous embarquent en effet entre rivages métal aux riffs agressifs et plages plus pop beaucoup plus tranquilles.
L'album, qui a squatté les charts américains pendant plusieurs semaines, démarre sur les chapeaux des roues avec le riff incisif de Love Bites, Lzzy enchaine couplet rageur et refrain plutôt pop, le solo est efficace, le tout est enchainé avec une fraicheur consommée
Mz. Hyde poursuit ce grand écart entre passage pop et riff metal avec une touche d'électro, la batterie cogne tandis que Hale entonne son côté Mme Hyde "Je peux être la chienne / je peux jouer la putain / ou bien être la princesse, qui pourrait demander plus? "
I Miss the Misery constitue l’hymne le plus accrocheur de l’album, qui fera mouche sur scène, ici la pop et le metal sont en totale harmonie pour à nouveau une fraicheur étonnante, à renverser le plus blasé des blasés. Freak Like Me , enchaine avec un métal acéré, et après ces quatre titres affutés, Beautiful with You, In Your Room et Break In prennent le relais dans un registre beaucoup plus pop et apaisé, une sorte de break pas ennuyeux du tout, avant de reprendre un tempo plus énervé avec un Rock Show mâtiné de quelques passages de chant rappé, puis un Daughters of Darkness et son hymne rageur, et You Call Me a Bitch Like It's a Bad Thing qui inclut quelques touches electro. L'album se termine avec une sorte de rock sudiste intitulé American Boys qui comprend un chouette travail à la guitare de Joe Hottinger, puis une dernière ballade, Here's to Us.
L'album, qui a squatté les charts américains pendant plusieurs semaines, démarre sur les chapeaux des roues avec le riff incisif de Love Bites, Lzzy enchaine couplet rageur et refrain plutôt pop, le solo est efficace, le tout est enchainé avec une fraicheur consommée
Mz. Hyde poursuit ce grand écart entre passage pop et riff metal avec une touche d'électro, la batterie cogne tandis que Hale entonne son côté Mme Hyde "Je peux être la chienne / je peux jouer la putain / ou bien être la princesse, qui pourrait demander plus? "
I Miss the Misery constitue l’hymne le plus accrocheur de l’album, qui fera mouche sur scène, ici la pop et le metal sont en totale harmonie pour à nouveau une fraicheur étonnante, à renverser le plus blasé des blasés. Freak Like Me , enchaine avec un métal acéré, et après ces quatre titres affutés, Beautiful with You, In Your Room et Break In prennent le relais dans un registre beaucoup plus pop et apaisé, une sorte de break pas ennuyeux du tout, avant de reprendre un tempo plus énervé avec un Rock Show mâtiné de quelques passages de chant rappé, puis un Daughters of Darkness et son hymne rageur, et You Call Me a Bitch Like It's a Bad Thing qui inclut quelques touches electro. L'album se termine avec une sorte de rock sudiste intitulé American Boys qui comprend un chouette travail à la guitare de Joe Hottinger, puis une dernière ballade, Here's to Us.
Etrange cas donc et en même temps un vrai renouveau avec un vent de fraicheur, HALESTORM s'autorise un mélange des genres qui troublera peut être les amateurs de frontières imperméables, pour les autres, dont votre serviteur, c'est du bonheur sans prise de tête, que demander de plus !
Label : |
Atlantic/Roadrunner |
Sortie : | 09/04/2012 |
Production : | n/a |
Discographie : |
Halestorm (2009) |
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