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GLANUM ROCKGlanum Rock – 15 ans déjà ! Bis repetita … Samedi 04 Aout 2012. 2ème soir !

Petit préambule :

Ça me plairait un jour de dire : « Super j’ai fait le Glanum et on ne m’a pas sucé ; même une seule fois dans ma vie ! » Mais dans cette région les femelles ne vous lâchent pas … Mais pourquoi se plaindre pour si peu ? C’était top ! Après tout que deux femelles … moustiques pour moi, ce soir-là.

(Mon intro est terminé, maintenant voyons comment mon webmaster va mettre en ligne. Lui qui diffuse largement avec le titre, deux lignes et le lien pour cette page ? Bisous chez toi l’ami.)

 

La meilleure mécanique a besoin d’huile pour fonctionner. Ici c’était de l’Olive A.O.C. un climat, une exposition et un ensoleillement pour restituer les caractéristiques de ce festival si particulier avec ce Rock qui se déguste tel un grand cru !

Dans cette région si belle et le short si court qu’on peut mater les … (Cherchez la  rime, moi je ramène du monde !) Ce qui ne peut pas corresponde à tous les trous du cru qui ne sont pas venus (pardon pour la faute !). J’aime me faire de nouveaux amis !

Prochaine suggestion d’affiche pour les 16 ans du festival : des bas de shorts moulants !?! Et NON ! Je ne poserai pas.

 

Le seul hic de cette seconde soirée : le bar ne servait pas d’huile … de la bière (bien sur ; il faut de l’oxygène dans un monde de rock) mais également … De la Super glu. La même  que la veille. L’assistance était doublée ; ça c’était le petit plus. Mais pour ceux qui venaient surtout faire la vidange du canal rénal en se rinçant la glotte aux houblons ; ils en oublient souvent que les amplis piquent beaucoup moins que les moustiques (les mêmes qu’au début). Plus fort certes, mais c’est le bon côté de la chose … c’est jouissif & ça ne fait pas pisser. Par contre voir cette agglutination à deux km de la scène, moi, ça me fait … Comment dire ? Fonctionner le tiroir à boudins ?

C’est faire injure aux zicos, on se rassure ce n’est pas un festival de lépreux. Pensez-y pour la(les) prochaine(s) fois !

Pour ceux qui dans leur grandes bontés viennent et restent apeurés devant les groupes, je vous rassure : Le rock est sans doute une maladie ; mais qui ne s'attrape pas sur simple contact !

Le Rock ne rend pas sourd, il rend vieux mais toujours jeune dans la tête. Une potion magique, qui coûte pouyem ; alors on sort son gros cul de son canapé et rendez-vous au Glanum et sur toutes les scènes de France et de Navarre !

 

Donc, bis repetita ; on ne prend pas les même et on recommence.

40 °c à l’ombre un filet de mistral et un ciel bleu à perte d’horizon, avec le retour du gros rond jaune dans le ciel. Bienvenue dans les Alpilles à Saint Rémy de Provence !

Tiens bizarre on a pas vu Djamel et Mélissa cette année, faudra sans doute faire venir NTM. Non je déconne. Le Glanum c’est un festival de musique avec des … Musiciens !

Deuxième soir, on dira plus vite, plus fort. Tel est le thème de la soirée bis et repetita, (une soirée de plus et l’O.N.U. débarquait.) Par effet de publicité, cela aurait été un bon moyen de réconcilier le français moyen avec l’univers du Rock. Car généralement plus le cheveu est long et moins le musicien est con ;  si, si ça peut marcher je vous invite à vérifier… Pour les plus jeunes je précise, car parfois le musicien ou le fan voudrait avoir les cheveux plus longs mais ils y renoncent avec un front qui commence devant pour se finir de l’autre côté de la tête. Ce n’est pas rock’n’roll … C’est « juste » Horrible et Nike « Just » Do It !

Le capillaire n’était pas le problème des groupes ce soir, du bon gros chevelus d’élevage !

 

 

Glanum RockGlanum RockGlanum RockGlanum Rock

HIGHWAY : Dix ans d’existence, un album sorti fin 2011 et bien chroniqué ici même par mon collègue John-Markus.

Highway à l’origine c’est l’histoire de deux frères, aujourd’hui de quatre musiciens de Montpellier. Leur discographie un Ep & un album autoproduit par Brennus, que je vous invite à vous procurer rapidement. Comme je le répète souvent (ça doit être l’âge … Merde ça commence ;-( …), en musique ce qui est important ce n’est pas forcément d’inventer – d’innover ; mais déjà de bien faire !

Ces mecs ont tout compris. Ce groupe à la chance d’être porté et tiré (à mon avis) par un homme à part : Ben. Il occupe seul et parfaitement son rôle de guitariste « unique ». Egalement auteur et compositeur du groupe, parfois en ça épaulé dans les écrits. Ce mec aura mouillé sa chemise au propre comme au figuré.

Ils auront pourtant eu la malchance d’ouvrir cette deuxième journée, de jouer de jour.

Eux qui possèdent les sacoches et tout le bagage, tous les atouts pour jouer en vedette sur un festival Hard. Sans préciser Amora (*) … à l’ancienne, d’autrefois (j’explicite ci-dessous).

Ils s’inscrivent dans le grand registre des grandes glorieuses du style. Un parfait mix entre un Y&T et un Airbourne, avec un quelque chose de Twisted Sister pour faire court. Pas de grand show sans un bon lead vocal, ils tiennent avec Benjamin ce grain de voix qui peut faire la différence, capable de les tirer haut. Mais qui pratique aussi du funambulisme sans sécurité ; je m’explique … Avec l’envie de donner tout sur  un show quand il faudrait aussi savoir, à mon avis, simplement (que) recoller à l’album. J’apprécie les hurleurs, mais j’aime quand les morceaux passent aussi dans/par l’émotion ; donc aussi dans la retenue. HIGHWAY, dans une formation réduite, mais non minimaliste c’est : une voix et trois fous furieux, pas de place pour les trous (du moins je veux dire : musicaux et sur scène). Parfait pour ce registre le cœur poumon basse (Sam) – batterie (Romain (frère de Ben)) vient peaufiner ce visage « (*) moutardé », en laissant toutefois l’essentiel de la scène aux six cordes et chant. Un album qui aurait largement mérité de faire la bande-son du film Rock Of Ages, tellement il colle à cette période. Les lignes de grattes sont splendides, quelles soit rythmiques ou solistiques. Voilà le bon gros Hard, qui pourrait servir de définition dans une encyclopédie, dans le chapitre : « Tiens Ducon, écoute ce que t’as raté ! ». Alors, certes les années défilent, mais moi si je n’ai pas connu les frères lumières, j’éclatais mes trois points blancs sur une bande son saturée et alimentée par les Marshall comme Biactol miracle ! Le perfecto était ma chrysalide, ma métamorphose qui dans ce cas précédait mon état larvaire ; car un graisseux sans perfecto … C’est comme un gay sans vaseline quelqu’un qui perdra le sourire et ne sera pas vraiment gai ou dans la douleur ! (Amis de la poésie : « Bonjour ! »).

 
  

 

 

 

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Fin du Premier set ! Le temps de s’abreuver et dans des temps canons, les groupes s’enchainent. Fin du glamour OIL CARTER déboule. Mes amis d’Harmonic Generator, m’en avait dit beaucoup de bien. Raté sur un précédent festival, ou je venais dans un état colonie de vacances (short – sac à dos – Pataugas & gourde). Première impression (ressenti) de la philosophie du groupe, avec Kriss au-devant de la scène (chant & guitare rythmique), avant même qu’il envoie la purée : la bière c’est notre oxygène, les filles toutes des ..Bip.. sauf maman, si c’est trop fort, t’es trop vieux et dégage !

C’est une philosophie, qui s’acquiert dans un local de répètes trop petit, quand le son est trop fort ; les canettes trop vides et le zicos trop pleins ? Une ambiance Rock ! Lire : « MOTORHEAD, la philosophie expliqué pour les nuls ! ».

La purée … Il l’envoie ! A tel point que si Mousline voulait une symbolique pour figurer sur ses boites, ils en tiendraient une. On me dirait que ce mec, Kriss, est le fruit de Lemmy, "Blackie" Lawless et Dee Snider avec Wendy O’ Williams que je le croirai !

C’est bon l’esquisse se dessine, au fusain, au marqueur ?

Musicalement dans ce genre musical, Heavy Trash, ces mecs possèdent leur propre identité. Ils alternent les titres speed avec d’autres d’une bonne grosse lourdeur, c’est dans ce second registre que je les préfère (sauf erreur de ma part sur le titre « Wiskey Take’s My Soul »), la puissance est tout autant présente, plus nuancée, plus cachée (j’aime l’esprit d’un « Seek & Destroy »).
Mais les instruments envoient tout autant, Nils soliste est d’un vrai bon niveau, la flying s’impose pour ce mec qui chatouille son haut du manche avec aisance pour aller chercher un flot de notes aigues en conservant finesse & mélodie ... dans cette forme de Hard. Sans imposer des avalanches de gammes ; écoutez :
Waton Of Your Life. Les positionnements sont campés ; chaque chose à sa place. Quant au jeu de scène, il se fait dans une forme d’immobilisme, registre Trash & on headbangue.
Dans ce tableau Renan pourrait « capillairement » faire tache, s’il n’imposait pas par sa présence physique et son jeu de bassiste. Quant à Rom (Barbu) sa double grosse caisse est en partie l’âme de la « Boite à bruit ». Son école n’est certainement pas jazz et le rock doit être sa religion, sa bière son vin de messe (boutade) ? Les inspirations Metallica sur le très « I Disapear » (un de mes titres préférés du leader du BIG FOUR) & « The Punisher » sont présentes et très bien digérées, possédées et rétribuées. En final de set une clôture sur un titre aux accents VULCAIN, grande période sur le titre « Volcanic Girl ».
Oil Carter aura eu le mérite de me réconcilier en partie avec un style qui n’est pas mon fer de lance. J’écoute trop de musique, dans une seule journée, pour rester campé sur ce style. Je deviendrai dingue et je boufferai le pitbull de mes voisins. Un groupe qui est sûr d’éclore sur les festivals, tant ils possèdent puissance et un leader charismatique. On en reparlera.

 
  


Glanum Rock
 

Troisième partie de journée, STYLE TRIP. Loin d’être inconnu pour moi, l’occasion m’était donné ce soir de les voir pour la quatrième fois et déjà trois Live Report ;-) !

Avant d’attaquer la partie show, je préciserai que Damien (bassiste – chanteur) aura été un  des maillons de la réussite du festival, sur la scène, à côté de la scène, autour, dessous, dessus ?

Au point de faire la nuit blanche avant sa soirée de concert. C’est donc avec une voix fatiguée et cassée qu’il se présentait devant son public. Il aura énormément donné de sa personne pour nous démontrer dans ces conditions sa technique vocale en sus de ses qualités intrinsèques. Bien sûr qu’Usain Bolt avec une jambe pétée il court moins vite. Mais dans ces conditions Damien s’en sort mieux que s’en sortirait le coureur Jamaïcain. Au travers de ces lignes, je vous livre les J.O. vu de l’intérieur (façon TF1 & M6), les 24 heures d’une prostituée, avec caméras dans ses orifices. Ce que vous ne saviez pas ! Je pourrai tout aussi bien vous le faire de la façon concon (chaine public L) et son troupeau de vieux qui n’y connait rien.

Bonne nouvelle, le prochain Style Trip est dans les starting-blocks. Encore une fois une histoire pour servir la trame de l’opus (voir ici même la chronique de « Gargoyles In Nightmare ». Bien sûr, on vous en parlera dès que l’actualité sera conjuguée au présent. Ce soir il y avait un absent, avec la bénédiction de ses comparses Julien prêtait son clavier à une chanteuse afin qu’elle puisse faire son show. C’est ça aussi la mentalité de ce groupe, de ses mecs, des valeurs !

Pour le reste, le groupe est inchangé. Compagnon des débuts, Fred répète toujours ses gammes en coulisse pour les servir de la façon la plus fluide sur scène. Aidé – épaulé par un deuxième lead rythmique en la personne de Guillaume. Expatrié, Laurent le géant du groupe assis derrière ses fûts, aura fait la route pour assurer les répètes et le show. Son  jeu  qui était tout en frappe sur notre  première rencontre, prend de l’épaisseur mais aussi une forme de finesse. L’impression que le travail de musicien semé, prend richesse aux fils des apparitions scéniques. Ce groupe garde sa ligne identitaire, un speed metal mélodique. Ou les interventions de guitares s’échangent des duels parfois – souvent arbitrés par la basse de Damien, en avant-scène d’un tempo du BigTall drummer. Même avec les contraintes qui l’ont affaibli, Damien aura joué avec le public à l’exercice du « je chante mieux, plus fort et plus longtemps que toi ».

Réécoutés des classiques du groupe comme « I Promise » ou le final Helloweenien de « I Want Out » fait un bien fou, c’est le plus de la musique ; on réécoute et on apprécie toujours. Laurent aura assuré en plus de son show la mise en route des samples, pour palier à la présence de Julien. Ce groupe possède maintenant une belle notoriété dans la région, la sortie du second opus sera (et devra) forcément (être) un tremplin. Je souhaite autant de succès à cet album, que de lumières perçues à sa présentation de mon ami Damien ;-)

Merci pour le show les gars ! Poursuivez l’aventure.

 

 Glanum Rock 

Un  festival c’est comme un feu d’artifice ; s’il pleut avant la fin si le bouquet final n’est pas à la hauteur on parle d’un raté. Mais aucunement ce soir !

MYRATH, entre en scène. Parachever avec sa notoriété grandissante, en vedette, la clôture des deux jours du festival Glanum Rock.

Parler de leur âme orientale c’est commencer à mettre de la couleur à leur musique.

Parler de Power Metal c’est poser le cadre à l’ensemble. Myrath c’est l’exotisme de la Tunisie qui pointe son nez … sans voile, leur musique ne joue pas cachée. Mais attention … écouter un set et repartir sans l’album c’est l’effet du mirage assuré, j’ai rêvé ? Ça existe vraiment ? Un oasis dans la soirée, un parfum de notes, de technicités et d’originalité garantie … mais pour esprit ouvert. Il y a les réfractaires du clavier, ceux d’identités marquées pourraient exister. Tant pis pour eux.

Après le show, j’en ai fait part au musicien ; j’ai ressenti la même chose qu’un Angra Holy Land. Avec un GROS plus, la batterie est vraiment mieux joué ! Beaucoup plus de finesse et de volume dans le jeu d’un Morgan.

Autre comparaison avec Angra, ils apportaient au début leurs origines ethniques dans leurs compositions. C’est bien en se démarquant qu’ils offraient un nouvel élan musical dans l’univers du Hard. Je les ai vus à leur début, j’ai souvenir de l’échange avec Kiko dont j’ai  gardé trace. Malgré son statut grandissant, MYRATH m’aura montré beaucoup de disponibilité et gentillesse. Un grand merci, bien sûr, à Kevin (Codfert, claviériste du groupe Adagio), producteur du groupe, management, conseil & investissements musicaux (c’est sa carte de visite, je l’ai  lu). Il les suit quasiment tout le temps. Il leur apporte ses connaissances et ses compétences pour les propulser, plus haut, plus vite. Kevin sait également répondre parfaitement à la curiosité d’un Live Reporteur, amateur passionné.

J’imagine aisément une ascension rapide pour ce groupe, difficile de concevoir autre chose que la réussite. Leurs premiers chiffres parlent : Premier des ventes chez Brennus depuis quatre ans. 4 à 5 000 exemplaires sur un premier album, et chaque opus en progression de ventes.

Sur scène c’est le dernier album qui donne le lead au show, mais le groupe traverse également son répertoire passé. Les ponts musicaux sont nombreux, généreux et riches.

Ce groupe créé en 2001 par Malek dès l’âge de 13 ans (passé depuis par le MAI référence en  France mais aussi en Europe, aura permis au guitariste de sublimer un talent qu’il avait déjà. Mais également de rencontrer Morgan devenu depuis cogneur du combo).

Morgan est un batteur comme on en rencontre peu ; beaucoup d’originalités dans son jeu il ne dénote même pas avec l’esprit général. Il apporte une touche énorme scéniquement ; à tel point qu’il me tarde de l’entendre sur le chapitre IV et l’album prévu en 2013. Malek … un personnage, il fait partie des virtuoses de la … sept cordes. Rejoint par Anis en 2006 il démontre que le talent appelle le talent. Anis bassiste à six cordes, mettrait douze cordes sur son manche, qu’il trouverait encore le moyen de les claquer toutes avec brio. Aujourd’hui Myrath c’est une Dream-Team (percevable dès l’entame du show ce soir avec : Sour Sigh). Un équilibre parfait, porté par un chanteur à forte aura avec une belle présence scénique, en la présence de Zaher. Chanteur à grain quasi unique (origine quand tu nous tiens). Mais un groupe qui serait orphelin sans sa patte arabisante ; mise plus en avant avec les claviers de Elyes (exemple : Braving The Seas). Même si parfois c’est tout le groupe qui amène et porte ses accents si particuliers, dans ce courant musical.

Elyes se sera montré, très disponible et se sera mis en quatre en fin de set, pour que le « Tales Of The Sand » épuisé à la vente sur place ; puisse parvenir prochainement flatter ma platine. Afin que je puisse vous parler encore de cet univers si particulier. Affaire à suivre. Rock Meeting se doit de développer le sujet.

« Madness » a permis de mesurer l’espace de la scène parfaitement rempli par le groupe.

Shockwave quant à lui délaisse l’univers Arabisant pour une forme de Hard Rock plus basique et une touche plus lyrique. Développerons t’il aussi cette palette ?

Beyond The Stars apportera et donnera l’occasion de faire chanter le public ce soir, avant que Malek nous serve un de ses solos dont il a le secret. Autant technique que mélodique !

Cela avant de finir en apothéose entre ponts musicaux et touches orientales sur Forever And A Day (qui ouvre Desert Call).

 

Premier album « Hope » en 2007 chez Brennus (EP de 8 titres) ; suivi de « Desert Call » en 2010. « Tales Of The Sand » en 2011. Ce groupe est sur les rails bien lancé.

Après l’été un quatrième album sera à la réalisation pour une sortie premier semestre 2013. Myrath, on n’a pas fini d’en parler. Ces mecs viennent sans égos en  dehors de leur frontières, quasi incognitos, porté par un talent et une identité, un voyage sur la route du succès et ce n’est pas le hasard qui les portera même si :

Le hasard est une loi qui voyage incognito (Proverbe arabe).

 

Aujourd’hui je suis ravi, (Lol) j’ai la musique pour accompagner mes couscous en restant dans mon univers musical. MYRATH n’est pas un mirage, mais bien un oasis dans le monde du Hard.

Quant au Glanum, il aura sur sa carte de visite ce grand groupe, qui aura vu le soleil briller aussi fort en dehors de ses frontières.


C’était Maënora pour Rock Meeting qui repart toujours comblé de ce festival local, grâce à une recette : les ingrédients et le savoir faire de ceux qui se reconnaîtront.

Dernier Merci, particulier à celles et ceux qui sont mes yeux, la beauté d’une carte postale réside dans l’image choisit. Sans vous personne n’irait au bout de ce texte ; d’ailleurs qui y vas ? Sur cette terre personne en apnée. Donc pour la / le photographe qui donne la vie au texte Nicolas Durand ; un merci du fond du cœur ;-)

Merci :

Highway : Ben Folch (chant) ; Ben Chambert (guitare, Choeurs) ; Sam Marechal (basse, Choeurs, Harmonica) ; Romain Chambert (batterie).

TrackList : Only R’n’R ; I Like It ; Gasoline ; Freedom ; Breath Of Life ; United States Of R’n’R ; Circus Of Madness, Leave Me Alone ; Have A Beer !

http://www.myspace.com/onlyhighway

https://www.facebook.com/pages/Highway/133865185572

 

Style Trip : Damien Perrot-bass & lead vocal, Frederic Desmaries-lead guitar, Guillaume Stamm-lead guitar, Laurent Degremont-Drum, Julien Sabdes-keyboards

TrackList :  Flying with pain ; Poltergeist ; Rising Sun ; Promises ; Ready to fight ; Falling Again ; Like a Hero ; Gargoyles in nightmare ; I want out.

http://www.myspace.com/styletrip13

https://www.facebook.com/pages/STYLE-TRIP/299549086725537

 

Oil Carter : Kriss : Guitar & vocal - Rom : Drums - Renan : Bass - Nils : Guitar solo.

TrackList : Something Starts Here ; Wiskey Take’s My Soul ; Waton Of Your Life ; Dig My Grave ; The Punisher ; Volcanic Girl.

MANAGEMENT & BAND CONTACT : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. | +33 (0) 650 800 768

https://www.facebook.com/oilcarter

 

Myrath : Zaher – Vocals ; Malek – Guitars ;  Anis – Bass ; Elyes – Keyboards ; Morgan – Drums.

TrackList : Sour Sigh ; Braving The Seas ;  Merciless Times ; Under Siege ; Wide Shut ; Tales Of The Sands ; Madness ; Shockwave ; Beyond The Stars ; Forever And A Day.

Myrath : http://www.myrath.com/

https://www.facebook.com/myrathband

 

 

 

 

 

 

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GLANUM ROCK 2012 04/08 - 4.2 out of 5 based on 6 votes