Rude semaine ! A peine remis du concert des suédois de Pain la veille, et avant le concert à Pau des allemands d’UDO dans deux jours , cette soirée du 28 octobre est consacrée au hard rock suisse dans notre bonne ville rose. Une chance entre nous soit dit car, à part la date du lendemain aux Rockalies, c’est la seule date française en « headline tour ». Tant et si bien que j’ai profité de l’occasion pour demander à l’organisateur, un peu sur le tard, la possibilité d’avoir une interview avec le groupe.
Ce dernier, Hatem BEN ISMAÏL, se montre très réactif et me donne rendez-vous à 16h avant la balance ! Las, Toulouse est devenu
n° 1 au triste palmarès des bouchons, j’ai touché du doigt le problème, et pour un trajet de 30mn sur une rocade fluide, cela a tourné au cauchemar et il a fallu 1h30 pour accomplir le périple. Très sympathique, le groupe accepte de me rencontrer après la balance, balance pendant laquelle j’ai l’occasion de mesurer toute l’efficacité du combo, cela devrait être chaud ! L’interview se déroule dans une ambiance conviviale avec Thomas Muster, le frontman fondateur et guitariste rythmique du groupe, et les deux derniers arrivés, John Prakesh le chanteur et Dominik Pfister le bassiste.
Le concert débute avec MAXXWELL en ouverture, un groupe également suisse, et devant
une maigre assistance, de l’ordre de 80 fans purs et durs, dont deux qui venaient de Bordeaux (voir le compte rendu de shakra fan dans le forum). Cela est bien maigre pour une affiche de cette qualité. Manque de promo due à une programmation tardive, trop de concerts en même temps (le constat sera le même pour UDO deux jours plus tard), grosses affiches qui on fait le plein quelques jours avant ou après (Motorhead, Scorpions et Alice Cooper), sûrement un mélange de toutes ces raisons !
Mais nos deux groupes ainsi que le public présent ont décidé de jouer rock n’ roll ! C’est d’autant plus difficile pour Maxxwell dont le chanteur est malade, et qui est remplacé au pied
levé par l’un des deux guitaristes du groupe. Quand on connaît un peu le répertoire du groupe, il y a une vraie perte d’efficacité, le chant manque clairement de niaque, on voit toute l’importance d’un vrai chanteur dans le hard rock, ce n’est pas comme dans les groupes extrêmes Death et autres où il est plus facile de trouver un remplaçant pour éructer dans un micro ! Mais l’enthousiasme communicatif des gars compense et rendent le set sympathique, donnant envie d’en découvrir un peu plus.
Avec SHAKRA, on est en terrain connu, pas moins de cinq albums étant chroniqués sur RockMeeting, restait à vérifier la solidité du combo sur scène, et notamment du petit dernier, John Prakesh , qui a quand même fait ses preuves sur le nouvel opus, Back On Track, mais la scène est toujours plus difficile que le studio !.. B True B You , issu du nouvel opus, nous rassure, John fait partie des vrais chanteurs, pas d’improvisations, les notes de l’album sont bien là, couplée à une vraie présence scénique. La rythmique joue la complémentarité entre l’ancien dans le groupe Roger Tanner à la batterie et du nouveau
Dominik Pfister, le tout orchestré par le frontman Thomas Muster. Thom Blunier joue la carte de la discrétion au niveau du jeu de scène, assez peu expressif, par contre au niveau des cordes, c’est du brillant, un vrai régal ! Après All Or Nothing , deux autres nouveaux titres sont enchainés, le hymnique Back on Track et M.M.T.W.G.R.. La suite fait la part belle aux autres albums studios, il y aura quand même deux autres nouveaux titres, l’excellent Crazy, puis un autre hymne en forme de symbole, Stronger Than Ever, et oui plus fort que jamais avec les nouvelles recrues, contre vents et marées, peu importe le public restreint, ce soir un petit cercle de privilégiés aura pu apprécier un groupe de la classe de son compatriote GOTTHARD, tant pis pour les absents !
Ce dernier, Hatem BEN ISMAÏL, se montre très réactif et me donne rendez-vous à 16h avant la balance ! Las, Toulouse est devenu
n° 1 au triste palmarès des bouchons, j’ai touché du doigt le problème, et pour un trajet de 30mn sur une rocade fluide, cela a tourné au cauchemar et il a fallu 1h30 pour accomplir le périple. Très sympathique, le groupe accepte de me rencontrer après la balance, balance pendant laquelle j’ai l’occasion de mesurer toute l’efficacité du combo, cela devrait être chaud ! L’interview se déroule dans une ambiance conviviale avec Thomas Muster, le frontman fondateur et guitariste rythmique du groupe, et les deux derniers arrivés, John Prakesh le chanteur et Dominik Pfister le bassiste. Le concert débute avec MAXXWELL en ouverture, un groupe également suisse, et devant
une maigre assistance, de l’ordre de 80 fans purs et durs, dont deux qui venaient de Bordeaux (voir le compte rendu de shakra fan dans le forum). Cela est bien maigre pour une affiche de cette qualité. Manque de promo due à une programmation tardive, trop de concerts en même temps (le constat sera le même pour UDO deux jours plus tard), grosses affiches qui on fait le plein quelques jours avant ou après (Motorhead, Scorpions et Alice Cooper), sûrement un mélange de toutes ces raisons ! Mais nos deux groupes ainsi que le public présent ont décidé de jouer rock n’ roll ! C’est d’autant plus difficile pour Maxxwell dont le chanteur est malade, et qui est remplacé au pied
levé par l’un des deux guitaristes du groupe. Quand on connaît un peu le répertoire du groupe, il y a une vraie perte d’efficacité, le chant manque clairement de niaque, on voit toute l’importance d’un vrai chanteur dans le hard rock, ce n’est pas comme dans les groupes extrêmes Death et autres où il est plus facile de trouver un remplaçant pour éructer dans un micro ! Mais l’enthousiasme communicatif des gars compense et rendent le set sympathique, donnant envie d’en découvrir un peu plus.Avec SHAKRA, on est en terrain connu, pas moins de cinq albums étant chroniqués sur RockMeeting, restait à vérifier la solidité du combo sur scène, et notamment du petit dernier, John Prakesh , qui a quand même fait ses preuves sur le nouvel opus, Back On Track, mais la scène est toujours plus difficile que le studio !.. B True B You , issu du nouvel opus, nous rassure, John fait partie des vrais chanteurs, pas d’improvisations, les notes de l’album sont bien là, couplée à une vraie présence scénique. La rythmique joue la complémentarité entre l’ancien dans le groupe Roger Tanner à la batterie et du nouveau
Dominik Pfister, le tout orchestré par le frontman Thomas Muster. Thom Blunier joue la carte de la discrétion au niveau du jeu de scène, assez peu expressif, par contre au niveau des cordes, c’est du brillant, un vrai régal ! Après All Or Nothing , deux autres nouveaux titres sont enchainés, le hymnique Back on Track et M.M.T.W.G.R.. La suite fait la part belle aux autres albums studios, il y aura quand même deux autres nouveaux titres, l’excellent Crazy, puis un autre hymne en forme de symbole, Stronger Than Ever, et oui plus fort que jamais avec les nouvelles recrues, contre vents et marées, peu importe le public restreint, ce soir un petit cercle de privilégiés aura pu apprécier un groupe de la classe de son compatriote GOTTHARD, tant pis pour les absents !Merci encore à Hatem (ci contre au milieu) pour l'organisation, et au groupe qui a été aussi très disponible après le set pour la dédicace, voir les nombreuses photos sur le forum.
Set List
B True B You
All Or Nothing
Back on Track
M.M.T.W.G.R.
Let Me Lie My Life to You
Inferno
Crazy
She's My Pride
Why Don't You Call Me
Yesterday's Gone
When I See You
The Other Side
Trapped
Ashes to Ashes
Rising High
Encore:
Chains of Temptation
Hands on the Trigger
Stronger Than Ever
B True B You
All Or NothingBack on Track
M.M.T.W.G.R.
Let Me Lie My Life to You
Inferno
Crazy
She's My Pride
Why Don't You Call Me
Yesterday's Gone
When I See You
The Other Side
Trapped
Ashes to Ashes
Rising High
Encore:
Chains of Temptation
Hands on the Trigger
Stronger Than Ever
Et les videos de MAXXWELL :
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