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N.B. Mea Culpa pour le retard, cette chronique arrive plusieurs mois en retard.
 
Préambule : De fait je vais vous présenter en 2014, ce qui pourrait être mon album Pop Rock 2013 d’un album sortie en … 2010. A tel point que je m’étonne que cette chronique se retrouve sur mon P.C & pas sur celui de mon ami Fab. Chroniqueur de l’impossible, Best-of en tous genres et musique de bénitier.
 
Deux secondes de généralités : C’est en fouinant qu’on devient fouille biiip, et c’est donc par le plus grand hasard que j’attrapais cet album à sa sortie. Et qu’il vient caresser les membranes de mes enceintes, après qu’Aftershock lui les aie rappé comme il le fallait J
Mais devant les aléas de la vie, oui ! Le travail, voilà que seulement maintenant je vous permets de rattraper votre retard.
 
Il y a eu une année passée et encore récente, je me voyais rentrer plus d’albums Pop Rock, que Hard, Heavy, A.O.R & tout autres courants Rock de type chevelu, voire d’héritage 80. La raison était simple, côté chrétien c’était le déluge type Noé et à côté de ça, peu de Scuds d’autres obédiences. De Mêlée, à Click Five, en passant par Eliot Minor, etc. etc. (Oui deux fois etc.). Que du bonheur, et le plus beau dans tout ça c’est que tous ces groupes je les retrouve dans un seul opus. En rajoutant The Higher, The All American. Maintenant le naturel est revenu et j’essaye de choisir au mieux.
 
Le secret bien gardé : La recette du bon Pop Rock, un chanteur bien au-delà de la moyenne. Un batteur qui vous donne le tempo’ avec des frappes éthérées (un héritage presque Porcaro dans la fluidité du touché), et l’impression au bout de quelques secondes de connaître chaque morceau. Une véritable envie de taper du pied et chanter, même en yaourt ; ce dans quelque endroit où vous puissiez être. Un conseil pour les toilettes : Evitez la bouche ouverte, pire es pattes écartés (c’était le conseil du jour).
 
Prends une rondelle c’est Maënora qui offre ; « Ze » saucissonnage :
-                     Losers : En moins de trois mn, c’est le titre qui vous colle en tronche ; ça pulse et l’envie est là de vouloir le mettre en boucle. Même les moins Anglophiles auront compris que nous sommes dans une mouvance chrétienne. Les plus tordus auront beaux vouloir entendre « Jé suceu ».  Qu’ils auraient bien tort. Et si le mâle est en toi, bah ... Tant pis.
-                     The God I Know : Nonn, ils ne parlent pas de l’objet à pile.  Le 1er pont avec refrain en chœur, est la quintessence de ce que peut offrir ce courant.
-                  Gotta Be Something : On reste dans l’excellence, en principe ceux qui se sont reconnus, dans les références au bout de trois titres auront déjà mis trois fois l’album dans leur panier. Les plus malins, seront déjà passés par la case achat. Moins enlevé, mais hyper raccrocheur. Pur esprit Clicklée ou MêlFive.
-                     Seek Justice Love Mercy. Le Mid tempo, même dans ce style, et moi je deviens midinette. Enfin, sur le papier. Oh ! Ne rêver pas les garçons moustachus avec pantalons en cuir, coiffe d’indiens, casque de chantier ou pull marin rayé. C’est une allégorie. Ici, la voix devient le paramètre INCONTOURNABLE. Noooon, pas la peine d’en acheter quatre.
-                    Leaving Here Someday : Le danger serait de copier les premiers titres à l’infini. Mais au risque de nous mettre un coup de pied dans le tabouret bancal. Me In Motion nous sort un titre qui pourrait se retrouver sur un album softy d’Offspring pour un peu que les grattes passent à la distors.
-                 You Never Fail Me : Pour l’esprit on garde le mouvement (un ton en dessous) mais l’esprit du précédent titre. Au point de se demander s’il n’y a pas eu un changement de batteur depuis le précédent morceau. Perso’ un peu moins dans ma came par ces frappes.
-                     Back To You : L’entracte étant terminé, on revient sur le premier carburant du groupe, un mid Pop-Rock. J’apprécie toujours autant les qualités vocales de lead. La fusion musicale en place autour du groupe, va jusqu’à nous offrir le premier (court) chorus de six cordes.
-                    Welcome To Your Life : On re glisse sur le registre 5 & 6. Anecdotique, de voir le manque d’inspiration de batterie que donne ce style. Pourtant, cela s’écoute tout de même facilement.
-                     Here In The Middle : Me In Motion reste dans un esprit pulse mais revient à ces fondamentaux, en se rapprochant de la première partie d’album. Une once de The All American Reject.
-                     You Move Me : A ce stade un constat s’impose, quoi déjà dixième et dernier titre ? Alors soit le voyage se fait en douceur, soit les chansons sont très courtes ? Un peu les deux mon capitaine Igloo, si vous aimez sucer des bâtons froids, America si vous rêvez comics et bannière étoilées et Crochet si vous vous êtes grattés et que vous avez encore mal derrière et du sang sur la pointe !
 
En conclusion, On oscille entre deux univers le pop Rock gentillet et le pulsé. Comme si ces mecs étaient à la Pop, ce que Stryper est au Hard. Un groupe dont on devrait parler pour son obole musicale, pas pour ses loisirs du dimanche matin. En faisant fondre un truc sous leur langue. Pour les esprits tordus, revenir à Losers, il fallait entendre Jésus !
 

 



Tracklist : Line Up :  
1. Losers         
2. The God I Know       
3. Gotta Be Something
4. Seek Justice, Love Mercy    
5. Leaving Here Someday        
6. You Never Fail Me   
7. Back To You
8. Welcome To Your Life         
9. Here In The Middle   
10. You Move Me
Vocal, Guitars, Keys : Seth Mosley
Bass, Backing vocals : Tim Wilson
Drums, Backing vocals : Brian Dexter

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Label : Centricity Music
Sortie : 2010
Production : Seth Mosley & Ian Eskelin


Discographie :
Vocal, Guitars, Keys : Seth Mosley
Bass, Backing vocals : Tim Wilson
Drums, Backing vocals : Brian Dexter


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