« On a dit avec raison que le but de la musique, c’était l’émotion.

Aucun autre art ne réveillera d’une manière aussi sublime le sentiment humain dans les entrailles de l’homme. »   GEORGE SAND Consuelo (1843).

Je  n’ai rien trouvé de plus beau et de plus proche que cet extrait de Consuelo de SAND pour parler de ce que je ressens à propos de ce nouvel album de BLACKFIELD. Cet opus se distingue des précédents par la participation de musiciens d’autres groupes talentueux comme VINCENT CAVANAGH (ANATHEMA), BRETT ANDERSON (SUEDE) et JONATHA N DONAHUE (MERCURY REV). AVIV GEFFEN est toujours à la barre (compositions et production) accompagné de son fidèle lieutenant  STEVEN WILSON (PORCUPINE TREE). Même si celui-ci a décidé de prendre du recul par rapport à ce projet pour se consacrer à sa carrière solo, nous le retrouvons ici sur 4 titres.

Au lieu de vous décortiquer chaque titre, je préfère tout d’abord vous dire que ce disque  IV est à BLACKFIELD  ce que Dark Side Of The Moon est à PINK FLOYD, ou Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band au BEATLES, ou Season’s End à MARILLION, ou encore The Joshua Tree à U2. Des références qui se retrouvent ici éparpillées tout au long des 30 minutes de ce disque.

Pour conclure et même si je n’ai pas la plume de SAND, je voudrais lister les adjectifs qui me parcourent l’esprit à chaque écoute de ce chef-d’œuvre.

Lunaire, magnifique, profond, bouleversant, beau, oxygénant, solaire, transcendant, jouissif, interstellaire, sublime, touchant, épidermique, grandiose, émotionnel, brillant, aérien, raffiné, rare…

Tracklist:	Line Up :
01. Pills 02. Springtime 03. XRay 04. Sense of Insanity 05. Firefly 06. The Only Fool is Me 07. Jupiter 08. Kissed by the Devil 09. Lost Souls 10. Faking 11. After the Rain	Aviv Geffen (chant sur 01, 02,04, 08, 09 et 10) Steven Wilson ( chant sur 01, 04, 07 et 09) Vincent Cavanagh (chant sur 03) Brett Anderson (chant sur 05) Jonathan Donahue chant sur 06)

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