Un livre (Dancing with myself) et un album sinon rien !
Il faut dire que William Albert Broad, mieux connu comme Billy Idol, n’est pas de ceux qui nous assomment régulièrement de sorties, mais pour le coup, il se rattrape ! Après des années 80 flamboyantes de hits, les années 90 s’étaient montrées moins prolixes avant le gros retour de 2005 et un superbe album. Et puis à nouveau silence radio pendant presque une décennie, si ce n’est une compilation, un album de Noël et quelques nouvelles chansons dispersées ici ou là. A défaut de nouvelle musique, lui et son groupe ont pourtant continué à tourner sans relâche. Ce Kings & Queens Of The Underground vient enfin mettre un terme à cette période de repos créatif. Il a été principalement produit par Trevor Horn, avec Greg Kurstin qui contribue également en tant que producteur sur deux chansons, y compris le single, Can’t Break Me Down.
Et autant lever le suspense sans tarder, cette stratégie qui consiste à prendre son temps s’est révélée comme en 2005 des plus efficaces. L’inspiration est au rendez vous
Cela démarre très bien avec un Bitter Pill accrocheur à souhait, tempo entrainant, mais c’est avec Can’t Break Me Down que l’on retrouve l’Idol énergétique et tubesque, superbe titre qui nous ramène aux fastes d’antan, avec un Steve Stevens en pleine forme. Save Me Now, One Breath Away en mid tempo, et Postcards From The Past en plus rapide, s’inscrivent dans cette même veine festive. L’éponyme Kings & Queens Of The Underground ouvre une phase plus intimiste, voire mélancolique, prolongée dans Eyes Wide Shut, ou dans l’émouvante power ballade à l’intro acoustique, Ghosts In My Guitar. Nothing To Fear termine cette phase de sérénité, l‘adrénaline remonte tout doucement dans l’accrocheur Love And Glory, avant d’éclater dans le rageur Whiskey And Pills qui termine l’album en fanfare !
Et autant lever le suspense sans tarder, cette stratégie qui consiste à prendre son temps s’est révélée comme en 2005 des plus efficaces. L’inspiration est au rendez vous
Cela démarre très bien avec un Bitter Pill accrocheur à souhait, tempo entrainant, mais c’est avec Can’t Break Me Down que l’on retrouve l’Idol énergétique et tubesque, superbe titre qui nous ramène aux fastes d’antan, avec un Steve Stevens en pleine forme. Save Me Now, One Breath Away en mid tempo, et Postcards From The Past en plus rapide, s’inscrivent dans cette même veine festive. L’éponyme Kings & Queens Of The Underground ouvre une phase plus intimiste, voire mélancolique, prolongée dans Eyes Wide Shut, ou dans l’émouvante power ballade à l’intro acoustique, Ghosts In My Guitar. Nothing To Fear termine cette phase de sérénité, l‘adrénaline remonte tout doucement dans l’accrocheur Love And Glory, avant d’éclater dans le rageur Whiskey And Pills qui termine l’album en fanfare !
Retour gagnant donc pour Billy Idol, rien de nouveau, mais du très solide qui fait sacrément plaisir à écouter !
| Tracklist : | Line Up : | |
|
1. Bitter Pill |
Billy Idol (chant) + Steve Stevens (guitare) |
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| Label : | BFI Records/Playground |
| Sortie : | 2014 |
| Production : | Trevor Horn |
| Discographie : |
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Billy Idol (1982) |
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