autour du guitariste Anglais Stuart Smith, qui fit le bonheur de nombreux groupes dans les années 70. Après s'être exilé aux Etats Unis, en 1994, Stuart tentera une carrière solo en s'entourant de différents musiciens, et, ce, jusqu'en 1998. Après mures réflexions, Stuart préfère revenir aux fondamentaux, et, décide, en 1999, de former un véritable groupe avec, en projet, un Hard Rock Old School, pouvant se situer entre Deep Purple et Bad Company. Fort de son expérience Américaine, Stuart recrute Richie Onori à la batterie, Chuck Wright à la basse, Arlan Schierbaum aux claviers et Joe Retta au chant. Heaven And Earth est formé, et, en 2001, sort le premier album intitulé Windows Of The World. En 2004, sortie du second: A Taste Of Heaven, et, en 2011, retour aux studios, pour commencer l'enregistrement de ce troisième album. Il sera peaufiné durant toute l'année 2012, sous l'impulsion de leur producteur Dave Jenkins ( Metallica). Enfin, Dig finit par sortir en Avril 2013.
Dès l'entame, avec Victorious, on baigne dans une harmonie bien Orientale, qui rappelle un peu le Perfect Strangers de Deep Purple avec un riff bien haché et un clavier orgue Hammond de première main. Joe Retta fait entendre la puissance de sa voix haute et un peu éraillée à la manière de David Coverdale. Coté chorus, Stuart rend hommage à Ritchie Blackmore et Tony Iommi. Meme approche heavy et progressive sur Waiting For The End Of The World avec son refrain bien aérien, ainsi que sur Sexual Insanity, avec son chorus de clavier au lyrisme bien vintage, digne d'un Jon Lord. En plus rapide, on trouve, Man And Machine avec son chorus en slide façon Mick Box d'Uriah Heep, ou, encore, Rock'n'Roll Does, avec son intro façon Highway Star du Pourpre Profond, et, enfin, Good Times avec un beau duel guitare/ clavier, comme pouvait en improviser Ritchie et Jon, chez Purple Deep. En plus enlevé, on se gargarise avec le refrain très fédérateur de No Money, No Love, ou bien, avec le très Bluesy, House Of Blues, qui sonne très Bad Co, ou, encore, avec Back In Anger, et son intro genre Look At Yourself d'Uriah Heep. Enfin, le groupe nous livre trois ballades très différentes, mais, tout aussi mélodiques. D'abord, I Don't Know What Love Is, avec son chorus de guitare bien aérien, ensuite, A Day Like Today doté d'une agréable mélodie en forme de ritournelle, et, enfin, Live As One, proche de Whitesnake, avec son superbe refrain qui permet à Joe de démontrer tout son talent.
Bref, vous l'aurez compris voilà un album bien vintage, produit dans l'esprit Purpelien, et qui groove un maximum, sur de multiples passages de différents morceaux. Heaven And Earth a désormais creusé son sillon dans une terre profonde, où la pourpre semence laisse, peut etre, présager une récolte qui peut les mener au paradis.
Dès l'entame, avec Victorious, on baigne dans une harmonie bien Orientale, qui rappelle un peu le Perfect Strangers de Deep Purple avec un riff bien haché et un clavier orgue Hammond de première main. Joe Retta fait entendre la puissance de sa voix haute et un peu éraillée à la manière de David Coverdale. Coté chorus, Stuart rend hommage à Ritchie Blackmore et Tony Iommi. Meme approche heavy et progressive sur Waiting For The End Of The World avec son refrain bien aérien, ainsi que sur Sexual Insanity, avec son chorus de clavier au lyrisme bien vintage, digne d'un Jon Lord. En plus rapide, on trouve, Man And Machine avec son chorus en slide façon Mick Box d'Uriah Heep, ou, encore, Rock'n'Roll Does, avec son intro façon Highway Star du Pourpre Profond, et, enfin, Good Times avec un beau duel guitare/ clavier, comme pouvait en improviser Ritchie et Jon, chez Purple Deep. En plus enlevé, on se gargarise avec le refrain très fédérateur de No Money, No Love, ou bien, avec le très Bluesy, House Of Blues, qui sonne très Bad Co, ou, encore, avec Back In Anger, et son intro genre Look At Yourself d'Uriah Heep. Enfin, le groupe nous livre trois ballades très différentes, mais, tout aussi mélodiques. D'abord, I Don't Know What Love Is, avec son chorus de guitare bien aérien, ensuite, A Day Like Today doté d'une agréable mélodie en forme de ritournelle, et, enfin, Live As One, proche de Whitesnake, avec son superbe refrain qui permet à Joe de démontrer tout son talent.
Bref, vous l'aurez compris voilà un album bien vintage, produit dans l'esprit Purpelien, et qui groove un maximum, sur de multiples passages de différents morceaux. Heaven And Earth a désormais creusé son sillon dans une terre profonde, où la pourpre semence laisse, peut etre, présager une récolte qui peut les mener au paradis.
| Tracklist : | Line Up : | |
| 01. Victorious 02. No Money, No Love 03. I Don't Know What Love Is 04. Man & Machine 05. House of Blues 06. Back in Anger 07. Waiting for the End of The World 08. Sexual Insanity 09. Rock & Roll Does 10. A Day Like Today 11. Good Times 12. Live as One | Joe Retta (chant) Stuart Smith (guitare) Chuck Wright (basse) Richie Onori (batterie) Arlan Schierbaum (hammond) |  |
| Label : | Quatro Valley Records |
| Sortie : | 23/04/2013 |
| Production : | Dave Jenkins |
| Discographie : |
Windows Of The World. (2001) |
| Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL |
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