Onzième opus pour ce combo Américain de Power Métal, né dans les années 80, et, originaire de la Nouvelle Orléans.
Après de multiples péripéties, le groupe avait fini par disparaître, avant de renaitre de ses cendres en 2007. Depuis, leur chanteur Derrick Lefèvre a quitté le groupe et s'est fait remplacer par Brian Jones (homonyme du défunt et célébrissime guitariste des Stones). Une fois le quintet reformé, retour au studio, en 2011, pour enregistrer cet album, mixé par Sylvia Massey, remarquée pour son travail avec les Black Crowes, Red Hot Chili Peppers, Prince, ou, encore, Johnny Cash.
Dès le premier morceau, intitulé Babylon, Sam Poitevent nous assène un riff qui bourdonne, doublé d'un deuxième riff, plus lourd, façon Black Sabs, sur lequel Brian Jones vient greffer une voix grave et chaude avant de monter dans les aigus pour le refrain. Steve Blaze, le guitariste/clavier et fondateur du groupe, fait feu d'un chorus bouillant et torturé qui finit crescendo. Même approche avec Gather Up The Snow et son chant mélodique à double voix, ainsi que, Soul Disease avec son changement de rythme et de climat. En plus rapide, on trouve Take The Bullet aux mélodies enlevées et un tempo bien assuré par Ken Koudelka, mais, aussi Caged In avec son riff sauvage qui ronronne, bien pulsé par la basse d'Eric Morris, ou bien, encore, Lava On My Tongue avec son riff répétitif comme un lavage de cerveau où s'ajoute un chorus en wah-wah. En plus progressif, nos Ricains nous gratifient de deux morceaux de choix que sont Death Comes Tomorrow avec intro piano chantée à la manière de David Gilmour, mais, aussi, The Great Divide avec son intro planante et son riff soutenu. Enfin, on a droit à deux ballades magnifiques avec Bow Your Head qui rappelle U.F.O. avec son chorus à la Michael Schenker, ainsi que My Apologies qui, elle, aurait pu être composée par l'autre Schenker ( Rudolf) tellement l'arpège présente l'aspect du Scorpion, avec, en plus, quelque chose de Queen et du Hey Joe d'Hendrix.
Bref, voilà un bel album équilibré, cohérent avec une énergie bien maitrisée qui ne décevra ni les fans, ni ceux qui ont envie de découvrir ce groupe qui, depuis toujours, a su rester dans l'axe.
Dès le premier morceau, intitulé Babylon, Sam Poitevent nous assène un riff qui bourdonne, doublé d'un deuxième riff, plus lourd, façon Black Sabs, sur lequel Brian Jones vient greffer une voix grave et chaude avant de monter dans les aigus pour le refrain. Steve Blaze, le guitariste/clavier et fondateur du groupe, fait feu d'un chorus bouillant et torturé qui finit crescendo. Même approche avec Gather Up The Snow et son chant mélodique à double voix, ainsi que, Soul Disease avec son changement de rythme et de climat. En plus rapide, on trouve Take The Bullet aux mélodies enlevées et un tempo bien assuré par Ken Koudelka, mais, aussi Caged In avec son riff sauvage qui ronronne, bien pulsé par la basse d'Eric Morris, ou bien, encore, Lava On My Tongue avec son riff répétitif comme un lavage de cerveau où s'ajoute un chorus en wah-wah. En plus progressif, nos Ricains nous gratifient de deux morceaux de choix que sont Death Comes Tomorrow avec intro piano chantée à la manière de David Gilmour, mais, aussi, The Great Divide avec son intro planante et son riff soutenu. Enfin, on a droit à deux ballades magnifiques avec Bow Your Head qui rappelle U.F.O. avec son chorus à la Michael Schenker, ainsi que My Apologies qui, elle, aurait pu être composée par l'autre Schenker ( Rudolf) tellement l'arpège présente l'aspect du Scorpion, avec, en plus, quelque chose de Queen et du Hey Joe d'Hendrix.
Bref, voilà un bel album équilibré, cohérent avec une énergie bien maitrisée qui ne décevra ni les fans, ni ceux qui ont envie de découvrir ce groupe qui, depuis toujours, a su rester dans l'axe.
| Tracklist : | Line Up : | |
| 01. Babylon 02. Death Comes Tomorrow 03. Gather Up The Snow 04. The Great Divide 05. Take The Bullet 06. Bow Your Head 07. Caged In 08. Soul Disease 09. Lava On My Tongue 10. My Apologies |
Brian Jones (chant) Stevie Blaze (guitare) Sam Poitevent (guitare) Eric Morris (basse) Ken Koudelka (batterie) |
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| Label : | AFM |
| Sortie : | 27/01/2012 |
| Production : | Rob Hovey |
| Discographie : |
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Lillian Axe (1988) |
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