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Pour compléter les propos de Franck, je dirai que le choix, pour le groupe, de faire sonner l'album comme les mythiques productions de Norman Whitfield pour la Tamla Motown, ne donnait pas la place à Dorian Sorriaux de distiller des solos de guitares dont le vibrato rappelle Paul Kossoff des Free.
Pour l'heure Dorian a œuvré à la manière du guitariste des Temptations en dosant des phrasés de pédale wah-wah aériennes comme dans Little Boy Preacher, Bad Talkers, Won't Go Back, Rejection ou, la reprise de Tony Joe White intitulée Ejection.
Par moment, il distille en slide à la manière de David Gilmour comme dans Burned Out ou dans le chorus de Gone So Long. Cet album a été élaboré spécialement pour Elin Larsson qui domine les débats du début à la fin. Elle adore Aretha Franklin, Janis Joplin, les Temptations, Marvin Gaye, et, donc, elle s'est fait plaisir.
 Les arrangements sont excellents et l'ensemble très agréable à écouter. Maintenant, comment vont-ils faire sonner ces titres sur scène, et, surtout, les chœurs (très importants sur ce disque) même, si on sait qu'il y a un cinquième élément en tournée avec eux.

Peut être aurais-je la réponse le 28 Octobre prochain en allant les voir à Bordeaux?

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