L’intérêt de la collection « Original Albums Classics » c’est de découvrir ou de redécouvrir des groupes ou artistes mythiques,
en se procurant tout ou partie de leur discographie à bas prix. C’est le cas actuellement avec Europe, Pretty Maids et Starship. Bon, pour Starsip c’est un peu plus light car il n’y a que 3 vrais albums si on excepte le dernier sorti il y a deux ans mais qui n’est plus vraiment du Starship mais plutôt du Mickey Thomas en roue libre !!! Je vais parler de cette réédition car ces 3 essais sont pour moi des incontournables du mouvement AOR. Je les ai bien sur depuis un bail mais ce coffret m’a permis de les ressortir, de les réécouter et de voir combien ce sont des MONUMENTS.
Petit historique déjà pour dire que Starship vient du Jefferson Airplane puis de Jefferson Starship qui avait suivi. En 84, Paul Kantner quitte le navire et laisse le Jefferson Starship sans capitaine à bord. Du coup, on va se retrouver avec encore un changement de nom. On va passer à Starship avec toujours Grace Slick au chant pilier depuis l’origine, l’autre vocaliste Mickey Thomas, le guitariste Craig Chaquico, le batteur Donny Baldwin et le bassiste Pete Sears. Le premier album de Starship voit le jour en 1985 et s’appellera Knee Deep In A Hoopla !!! Quel drôle de nom pour un album majuscule dans la carrière du groupe qui placera de nombreux titres dans les charts. Le premier, We Built This City co écrit par Martin Page et Bernie Taupin entre autre, sera un méga tube et sera classé par Rolling Stones comme la plus mauvaise chanson du 20ème siècle !!! J’ai toujours dis qu’ils avaient des gouts de chiottes dans ce magazine car c’est un super hymne. Le second tube sera la superbe balade Sara mais cela serait réducteur de ne ressortir que ces deux morceaux tellement il y a de bons titres comme Desperate Heart co écrit par Randy Goodrum et Michael Bolton que celui interpréte sur son essai Everybody’s Crazy. On peut parler aussi de la compo Before I Go écrite par David Roberts ou bien de Hearts Of The World et sa rythmique d’enfer. Le groupe propose une sorte d’AOR Hi Tek mais très axé sur les vocaux. Les passes d’armes entre Slick et Thomas sont nombreuses mais toujours au service des mélodies. Bref, un grand album…
2 ans après soit en 87, sort No Protection précédé la aussi par un méga hit tiré du fim Mannequin qui n’est pas passé à la postérité mais la chanson si. C’est ailleurs avec ce Nothing’s Gonan Stop Us Now que j’ai découvert Starship. Je n’arrêtais pas, à l’époque, de programmer ce titre en radio. Ce titre est pourtant assez trompeur par rapport au reste de l’album qui se veut assez synthétique encore plus que le précèdent mais finalement la aussi excellent. Des titres comme Beat Patrol ou It’s Not Over en sont un peu les symboles. Comme sur Knee on retrouve des signatures de premier plan avec Cliff Magness et Martin Page sur The Children ou toujours David Roberts sur Say When. Rien à jeter encore sur cet essai ou Slick et Thomas mais aussi Chaquico prouvent leur talent. Set The Night To Music écrite par Diane Warren sera même repris par Roberta Flack quelques années plus tard en duo avec le chanteur reggae Maxi Priest. C’est la fin de l’aventure pour Grace Slick qui rejoint la reformation du Jefferson Airplaine en 1989.
Love Among The Cannibals sort en 1989 et vient clore cette trilogie. Il reste encore Thomas, Baldwin et Chaquico pour certainement leur album le plus FM. Là, on recrute encore du lourd pour les compos puisqu’apparait John Bettis qui a travaillé avec Stan Bush sur Wild Again mais aussi Mutt Lange sur le très Def Lepaprdien, I Didn’t Mean To Stay All Night. Il n’y a que des brulots FM comme les exceptionnels The Burn ou It’s Not Enough mais on dénote quand même une grosse faute de gout. Bon, c’est la seule en 3 albums mais elle est quand même notable avec la purge Love Among The Cannibals qui sous ses airs hymne ethnique loupe complètement le coche. Mickey Thomas est tout seul aux commandes du chant et il s’en sort divinement bien.
Ensuite tout cela implosera en vol, Thomas essayant de raviver la flamme par des concerts ou autres compils mais sans grand succès car le garçon a perdu un peu de sa superbe vocalement parlant. Il a un peu le syndrome Bobby Kimball. Chaquico va sortir un paquet d’albums instrumentaux et les autres ???? Il n’en demeure pas moins que ces 3 albums sont absolument obligatoires dans votre discothèque. Si vous ne les possédez pas encore, la collection Original Albums Classics vous y aidera
2 ans après soit en 87, sort No Protection précédé la aussi par un méga hit tiré du fim Mannequin qui n’est pas passé à la postérité mais la chanson si. C’est ailleurs avec ce Nothing’s Gonan Stop Us Now que j’ai découvert Starship. Je n’arrêtais pas, à l’époque, de programmer ce titre en radio. Ce titre est pourtant assez trompeur par rapport au reste de l’album qui se veut assez synthétique encore plus que le précèdent mais finalement la aussi excellent. Des titres comme Beat Patrol ou It’s Not Over en sont un peu les symboles. Comme sur Knee on retrouve des signatures de premier plan avec Cliff Magness et Martin Page sur The Children ou toujours David Roberts sur Say When. Rien à jeter encore sur cet essai ou Slick et Thomas mais aussi Chaquico prouvent leur talent. Set The Night To Music écrite par Diane Warren sera même repris par Roberta Flack quelques années plus tard en duo avec le chanteur reggae Maxi Priest. C’est la fin de l’aventure pour Grace Slick qui rejoint la reformation du Jefferson Airplaine en 1989.
Love Among The Cannibals sort en 1989 et vient clore cette trilogie. Il reste encore Thomas, Baldwin et Chaquico pour certainement leur album le plus FM. Là, on recrute encore du lourd pour les compos puisqu’apparait John Bettis qui a travaillé avec Stan Bush sur Wild Again mais aussi Mutt Lange sur le très Def Lepaprdien, I Didn’t Mean To Stay All Night. Il n’y a que des brulots FM comme les exceptionnels The Burn ou It’s Not Enough mais on dénote quand même une grosse faute de gout. Bon, c’est la seule en 3 albums mais elle est quand même notable avec la purge Love Among The Cannibals qui sous ses airs hymne ethnique loupe complètement le coche. Mickey Thomas est tout seul aux commandes du chant et il s’en sort divinement bien.
Ensuite tout cela implosera en vol, Thomas essayant de raviver la flamme par des concerts ou autres compils mais sans grand succès car le garçon a perdu un peu de sa superbe vocalement parlant. Il a un peu le syndrome Bobby Kimball. Chaquico va sortir un paquet d’albums instrumentaux et les autres ???? Il n’en demeure pas moins que ces 3 albums sont absolument obligatoires dans votre discothèque. Si vous ne les possédez pas encore, la collection Original Albums Classics vous y aidera
Discographie : |
Knee Deep In The Hoopla (1985) No Protection (1987) Love Among The Cannibals (1989) Loveless Fascination (2013) Original Album Classics (2015) |
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