On prend le même chanteur que l'album de Lionville, et on fait un copié collé de la chronique (Rappel) :
Ce nouveau petit joyau, ... ». STOOOOOOP ! On se calme, lisez la suite.
Comme j'aurai aimé copier ces lignes !
D'une, j'aurai rendu ma copie beaucoup plus vite ; j'ai traîné, traîné ; mais rien ni fait !
La traduction «TRAVAIL D'ART – En Progrès », je pense ... orfèvrerie ? Un diamant ?
Mais non, je me retrouve avec un vulgaire caillou. Je serai peut-être le seul à le dire, je l'espère d'un côté.
Mais de l'autre je serai tout de même étonné, que personne ne se retrouve dans mon analyse.
Imaginez-vous à une soirée, prévue longtemps à l'avance. Prenons l'exemple d'Internet, vous rencontrez quelqu'un via un grand réseau d'Internet, l'échange de photo' ; Nickel !
Vous préparez la soirée, le lieu, le repas, et ... le vin. Mais le jour du rendez-vous, le fameux coupé de la demoiselle, se révèle être une Aixam et d'un coup le « Technicité, anticipation et savoir faire », devient « simplicité, démotivation et vie de merde », J'assume je prends sur moi !
Les filles mettent toujours leur meilleure photo', faut êtes plus maligne, mettez une photo' de vous trafiquée ... en pire et là – surprise ... postive (bon évidement si t'es trop moche ça ne marche pas).
Enfin, restons dans le sujet ! (façon de parler).
Elle descend de sa voiture, et là vous dites (en chanson) elle descend de la montagne ; mais c'est pas possible ; elle en est tombé de son cheval ! La photo' c'était pas ça ! Elle vous dit : « Oui mais j'ai arrêté de me raser, puis la photo' date un peu » (Et vous vous dites (dans votre tête) je ne pense pas à tes dessous de bras mais à ta tronche).
Mais grand seigneur, vous vous dites : « date un peu, alors ce n'était pas du papier effet jauni, quand j'y repense je me disais aussi que ça faisait byzarre tout ces gens dans ses carioles, habillés comme la petite maison dans la prairie». Mais, comme vous êtes, aussi, gentleman, vous vous motivez :
« Il reste le lieu et tout le reste (le vin) », si ça c'est pas de la positive attitude, je n'y connais rien !
Et là ce qui suit devient quasi' nickel, ... miracle ? Bon en fait, le décor c'est vrai, c'est ce qui était prévu, une superbe terrasse avec vue sur la mer ... mais ... Il pleut !
On s'accomode, on mange à l'intérieur et l'intimité devient ... proximité. Et l'on a une superbe vue ... sur la terrasse.
Avec, une communion de triplés et sa musique de fond, « Et on fait tourner les mouchoirs ».
A partir de ce moment, vous vous dîtes : « m'en fou ! De toute façon le principal c'est de bien bouffer et ... bien boire, voire même trop boire (snif) »,
Et ... Re miracle ; le vin est superbe, OUUUIII ! Les aliments délicieux, somptueux, gouteux et pleins de mots en « eux ». Si, si ! C'est vrai. Bon j'avoue, qu'une choucroute avec un margaux et un pain de poissons avec de la bière brune c'est pas top, mais c'est aussi quelque part mon analyse de l'album.
Lars Säfsund, le chanteur est excellent. Ensuite il y a de superbes refrains, de superbes choeurs, de bons solos. Mais pas tout dans le même morceau. Et jamais d'un bout à l'autre. Ou alors vraiment à la fin de l'album.
1er titre, The Rain ça (re)commence (comme sur ma réservation, on va bouffer dedans ? ), et là vous savourez, les secondes passent et vous vous dites, le batteur il fait quoi ? Il a envie de pisser ? Un train à prendre ? D'ailleurs, ... Y-a-t-il un batteur dans ... ?
C'est répétitif au possible, ça tue le morceau, chiant, mais chiant ! Chiant comme la pluie !
Et je me dis, pourquoi, Fab il ne l'a pas chroniqué ? Il en sort 30, quand j'en chronique un, pourquoi ça tombe sur moi ?
Tu dis quoi Prof ? C'est moi qui ai demandé ? ah ; pardon ! J'assume.
Je pense que si tout les morceaux avaient été écourtés de deux minutes, si il y avait eu plus de ponts musicaux, de changements de rythme, de ... folie. On sortait quelque chose de très bon, mais !
L'impression, comme pour le cinéma ; le gros blockbuster annoncé ; ça envoie grave sur les extraits et quand on regarde le film ... pffff ! Un feu de paille, limite daube. Tout était dans les annonces. Voilà ma sensation après des écoutes complètes, déception.
Je vais beaucoup attendre du prochain album, car quand ils s'essayent dans les mids tempos, ils montrent un potentiel énorme. Peut-être le plus gros des groupes contemporains. Alors il faut se ressaisir, et ne pas se faire bouffer dans la production, transcrire un album qui ressemble à un son le plus proche du Live. Quelque chose qui ressemble à du Rock !
J'ai pas envie de faire un tour en Aixam, moi.
Si demain je prends une électrique, je veux une hybride type Audi, Mercedes, du simple ; mais efficace.
Je présente mes excuses à mon Webmaster, je pense que cet album sera encensé par des tas de presses et sites, qu'on pourra penser que sur RockMeetring, on n'a rien compris (ou que ... J'ai rien compris) j'assume je n'ai pas accroché plus que ça. Pourtant je me suis enfiler des écoutes et des écoutes, à tel point que je n'ai plus qu'une envie récouter que le précédent, celui-ci ? Une fois ? Dans quelques mois, années ? Mais en sautant quelques titres. Et pourtant j'espérai !
Et si on essayait de saucissonner cet album ?
Donc l'album commence avec un The Rain et une batterie type boite à rythme, la volonté de servir un hymne popisant enlevé, d'entrée la voix est bien en place, les choeurs ok ! Mais la batterie ... pénible et le solo qui se fait attendre 3mn48 beaucoup trop tard et le morceau trrroooop long.
Nature Of The Game : decente de tempo, meilleure mise en place, mais titre sans plus de saveur.
Toujours cette voix qui apporte un plus ; un changement de rythme ... après t.r.o.i.s minutes (c'est encore long), vient ensuite un solo qui ne m'embarque pas et il reste une minute !
Once Again : un mid et enfin une ambiance qui se marque, sonorité de caisse claire à retravailler ; mais enfin quelque chose, mais rien encore de vraiment transcendant ... Etc. Je zappe et passe plus loin.
Premier amorce de réveil à partir de The Great Fall, mais la réalisation apportée à la batterie nous donne vraiment l'illusion qu'on n'a pas de batteur. On croirait entendre une table de mixage, pas étonnant quant on sait qu'un certain Rami Yacoub (Westlife, Britney Spears) ramène sa fraise au mixage, ce qui en est surement la cause (je passerai sous silence son travail avec Bon Jovi).
Emelie est pour moi le début de l'album, car ce qui suit devient très écoutable, voire mémorisable.
En conclusion, un Ep de quatre cinq titres pour 2011 ou un album de démos dans quelques années ; auquel cas le contrat était rempli.
Mais avec un album de cet acabit en second d'essai ? C'est une GROSSE déception.
Il reste une règle, l'album référence dans les trois premiers essais ou passage à la trappe.
En conclusion, on dira 18/20 pour la pochette. Pour le contenu : du premier au 8ème titre : 12/20 ? Et un 15,5 / 16 pour le final.
J'ai peur que LIONVILLE et Rob MORATTI aient mis la barre trop haute pour beaucoup. Heureusement qu'il y a aussi des groupes français ! Pour 2011 je vous conseille, et vous me remercierez le PYG (voir chronique de John Markus). On joue dans une autre division. J'en reparlerai. Puis cela vous fera de la bonne musique à vous mettre dans les ouies, je retourne me mettre le Rob Moratti, histoire de rester dans le créneau de l'A.O.R.
| Tracklist : | Line Up : | |
| 1. The Rain 2. Nature Of The Game 3. Once Again 4. Never Love Again 5. Eye Of The Storm 6. Until You Believe 7. The Great Fall 8. Call On Me 9. Emelie 10. Fall Down 11. Castaway 12. One Step Away Bonus video : The Great Fall | Lars SÄFSUND (chant, clavier) Robert SALL (guitare, clavier) Herman FURIN (batterie) |  |
| Label : | Frontiers Records |
| Sortie : | 26/08/2011 |
| Discographie : |
Artwork (2008) |
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